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jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres, par le Saint-Esprit, aux apôtres qu’il avait choisis.
Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il
Il était compté parmi nous, et il avait part au même ministère.
Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Comme il était prophète, et qu’il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône,
Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père le Saint-Esprit qui avait été promis, et il l’a répandu, comme vous le voyez et l’entendez.
Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple.
Mais Dieu a accompli de la sorte ce qu’il avait annoncé d’avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir.
Mais comme ils voyaient là près d’eux l’homme qui avait été guéri, ils n’avaient rien à répliquer.
Car l’homme qui avait été l’objet de cette guérison miraculeuse était âgé de plus de quarante ans.
Car il n’y avait parmi eux aucun indigent : tous ceux qui possédaient des champs ou des maisons les vendaient, apportaient le prix de ce qu’ils avaient vendu,
Jacob apprit qu’il y avait du blé en Égypte, et il y envoya nos pères une première fois.
et ils furent transportés à Sichem, et déposés dans le sépulcre qu’Abraham avait acheté, à prix d’argent, des fils d’Hémor, père de Sichem.
Le temps approchait où devait s’accomplir la promesse que Dieu avait faite à Abraham, et le peuple s’accrut et se multiplia en Égypte,
jusqu’à ce que parut un autre roi, qui n’avait pas connu Joseph.
Il avait quarante ans, lorsqu’il lui vint dans le cœur de visiter ses frères, les fils d’Israël.
Nos pères avaient au désert le tabernacle du témoignage, comme l’avait ordonné celui qui dit à Moïse de le faire d’après le modèle qu’il avait vu.
Saul avait approuvé le meurtre d’Étienne. Il y eut, ce jour-là, une grande persécution contre l’Église de Jérusalem
Il y avait auparavant dans la ville un homme nommé Simon, qui, se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l’étonnement du peuple de la Samarie.
Ils l’écoutaient attentivement, parce qu’il les avait longtemps étonnés par ses actes de magie.
Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean.
Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananias. Le Seigneur lui dit dans une vision : Ananias ! Il répondit : Me voici, Seigneur !
Alors Barnabas, l’ayant pris avec lui, le conduisit vers les apôtres, et leur raconta comment sur le chemin Saul avait vu le Seigneur, qui lui avait parlé, et comment à Damas il avait prêché franchement au nom de Jésus.
Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une femme nommée Tabitha, ce qui signifie Dorcas : elle faisait beaucoup de bonnes œuvres et d’aumônes.
Il y avait à Césarée un homme nommé Corneille, centenier dans la cohorte dite italienne.
Dès que l’ange qui lui avait parlé fut parti, Corneille appela deux de ses serviteurs, et un soldat pieux d’entre ceux qui étaient attachés à sa personne
Tandis que Pierre ne savait en lui-même que penser du sens de la vision qu’il avait eue, voici, les hommes envoyés par Corneille, s’étant informés de la maison de Simon, se présentèrent à la porte,
Ils arrivèrent à Césarée le jour suivant. Corneille les attendait, et avait invité ses parents et ses amis intimes.
Cet homme nous raconta comment il avait vu dans sa maison l’ange se présentant à lui et disant : Envoie à Joppé, et fais venir Simon, surnommé Pierre,
Pierre, leur ayant de la main fait signe de se taire, leur raconta comment le Seigneur l’avait tiré de la prison, et il dit : Annoncez-le à Jacques et aux frères. Puis il sortit, et s’en alla dans un autre lieu.
Hérode avait des dispositions hostiles à l’égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d’un commun accord
Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers.
Il y avait dans l’Église d’Antioche des prophètes et des docteurs : Barnabas, Siméon appelé Niger, Lucius de Cyrène, Manahen, qui avait été élevé avec Hérode le tétrarque, et Saul.
Avant sa venue, Jean avait prêché le baptême de repentance à tout le peuple d’Israël.
À Lystre, se tenait assis un homme impotent des pieds, boiteux de naissance, et qui n’avait jamais marché.
Il écoutait parler Paul. Et Paul, fixant les regards sur lui et voyant qu’il avait la foi pour être guéri,
À la vue de ce que Paul avait fait, la foule éleva la voix, et dit en langue lycaonienne : Les dieux sous une forme humaine sont descendus vers nous.
Après leur arrivée, ils convoquèrent l’Église, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux, et comment il avait ouvert aux nations la porte de la foi.
Arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l’Église, les apôtres et les anciens, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux.
Toute l’assemblée garda le silence, et l’on écouta Barnabas et Paul, qui racontèrent tous les miracles et les prodiges que Dieu avait faits par eux au milieu des païens.
mais Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur œuvre.
Il se rendit ensuite à Derbe et à Lystre. Et voici, il y avait là un disciple nommé Timothée, fils d’une femme juive fidèle et d’un père grec.
Comme nous allions au lieu de prière, une servante qui avait un esprit de Python, et qui, en devinant, procurait un grand profit à ses maîtres, vint au-devant de nous,
Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa famille de ce qu’il avait cru en Dieu.
il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses.
Il y trouva un Juif nommé Aquilas, originaire du Pont, récemment arrivé d’Italie avec sa femme Priscille, parce que Claude avait ordonné à tous les Juifs de sortir de Rome. Il se lia avec eux
et, comme il avait le même métier, il demeura chez eux et y travailla : ils étaient faiseurs de tentes.
Paul resta encore assez longtemps à Corinthe. Ensuite il prit congé des frères, et s’embarqua pour la Syrie, avec Priscille et Aquilas, après s’être fait raser la tête à Cenchrées, car il avait fait un vœu.
Il avait pour l’accompagner jusqu’en Asie : Sopater de Bérée, fils de Pyrrhus, Aristarque et Second de Thessalonique, Gaïus de Derbe, Timothée, ainsi que Tychique et Trophime, originaires d’Asie.
Il y avait beaucoup de lampes dans la chambre haute où nous étions assemblés.
Paul avait résolu de passer devant Éphèse sans s’y arrêter, afin de ne pas perdre de temps en Asie
ils l’embrassaient, affligés surtout de ce qu’il avait dit qu’ils ne verraient plus son visage. Et ils l’accompagnèrent jusqu’au navire.
Il avait quatre filles vierges qui prophétisaient.
Après les avoir salués, il raconta en détail ce que Dieu avait fait au milieu des païens par son ministère.
Car ils avaient vu auparavant Trophime d’Éphèse avec lui dans la ville, et ils croyaient que Paul l’avait fait entrer dans le temple.
Alors le tribun s’approcha, se saisit de lui, et le fit lier de deux chaînes. Puis il demanda qui il était, et ce qu’il avait fait.
Aussitôt ceux qui devaient lui donner la question se retirèrent, et le tribun, voyant que Paul était Romain, fut dans la crainte parce qu’il l’avait fait lier.
Le tribun renvoya le jeune homme, après lui avoir recommandé de ne parler à personne de ce rapport qu’il lui avait fait.
J’ai trouvé qu’il était accusé au sujet de questions relatives à leur loi, mais qu’il n’avait commis aucun crime qui mérite la mort ou la prison.
Félix, qui savait assez exactement ce qui concernait cette doctrine, les ajourna, en disant : Quand le tribun Lysias sera venu, j’examinerai votre affaire.
On n’avait pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit : Ô hommes, il fallait m’écouter et ne pas partir de Crète, afin d’éviter ce péril et ce dommage.
Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l’île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale.
Après un séjour de trois mois, nous nous embarquâmes sur un navire d’Alexandrie, qui avait passé l’hiver dans l’île, et qui portait pour enseigne les Dioscures.
Après m’avoir interrogé, ils voulaient me relâcher, parce qu’il n’y avait en moi rien qui méritât la mort.
Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu’il avait louée. Il recevait tous ceux qui venaient le voir,