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Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent,
et dirent : "Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel."
Hommes frères, il fallait que s’accomplît ce que le Saint-Esprit, dans l’Écriture, a annoncé d’avance, par la bouche de David, au sujet de Judas, qui a été le guide de ceux qui ont saisi Jésus.
Cet homme, ayant acquis un champ avec le salaire du crime, est tombé, s’est rompu par le milieu du corps, et toutes ses entrailles se sont répandues.
Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Alors Pierre, se présentant avec les onze, éleva la voix, et leur parla en ces termes : Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles !
Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes
cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies.
Hommes frères, qu’il me soit permis de vous dire librement, au sujet du patriarche David, qu’il est mort, qu’il a été enseveli, et que son sépulcre existe encore aujourd’hui parmi nous.
Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?
Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple.
Cet homme, voyant Pierre et Jean qui allaient y entrer, leur demanda l’aumône.
Pierre, voyant cela, dit au peuple : Hommes Israélites, pourquoi vous étonnez-vous de cela ? Pourquoi avez-vous les regards fixés sur nous, comme si c’était par notre propre puissance ou par notre piété que nous eussions fait marcher cet homme ?
Cependant, beaucoup de ceux qui avaient entendu la parole crurent, et le nombre des hommes s’éleva à environ cinq mille.
puisque nous sommes interrogés aujourd’hui sur un bienfait accordé à un homme malade, afin que nous disions comment il a été guéri,
sachez-le tous, et que tout le peuple d’Israël le sache ! C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous.
Lorsqu’ils virent l’assurance de Pierre et de Jean, ils furent étonnés, sachant que c’étaient des hommes du peuple sans instruction
Mais comme ils voyaient là près d’eux l’homme qui avait été guéri, ils n’avaient rien à répliquer.
Ils leur ordonnèrent de sortir du sanhédrin, et ils délibérèrent entre eux, disant : Que ferons-nous à ces hommes ?
Car l’homme qui avait été l’objet de cette guérison miraculeuse était âgé de plus de quarante ans.
Mais un homme nommé Ananias, avec Saphira sa femme, vendit une propriété,
S’il n’eût pas été vendu, ne te restait-il pas ? Et, après qu’il a été vendu, le prix n’était-il pas à ta disposition ? Comment as-tu pu mettre en ton cœur un pareil dessein ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.
Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s’augmentait de plus en plus
Quelqu’un vint leur dire : Voici, les hommes que vous avez mis en prison sont dans le temple, et ils enseignent le peuple.
Ne vous avons-nous pas défendu expressément d’enseigner en ce nom-là ? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet homme !
Pierre et les apôtres répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.
Puis il leur dit : Hommes Israélites, prenez garde à ce que vous allez faire à l’égard de ces gens.
Car, il n’y a pas longtemps que parut Theudas, qui se donnait pour quelque chose, et auquel se rallièrent environ quatre cents hommes : il fut tué, et tous ceux qui l’avaient suivi furent mis en déroute et réduits à rien.
Et maintenant, je vous le dis ne vous occupez plus de ces hommes, et laissez-les aller. Si cette entreprise ou cette œuvre vient des hommes, elle se détruira
C’est pourquoi, frères, choisissez parmi vous sept hommes, de qui l’on rende un bon témoignage, qui soient pleins d’Esprit-Saint et de sagesse, et que nous chargerons de cet emploi.
Cette proposition plut à toute l’assemblée. Ils élurent Étienne, homme plein de foi et d’Esprit-Saint, Philippe, Prochore, Nicanor, Timon, Parménas, et Nicolas, prosélyte d’Antioche.
Alors ils subornèrent des hommes qui dirent : Nous l’avons entendu proférer des paroles blasphématoires contre Moïse et contre Dieu.
Ils produisirent de faux témoins, qui dirent : Cet homme ne cesse de proférer des paroles contre le lieu saint et contre la loi
Étienne répondit : Hommes frères et pères, écoutez ! Le Dieu de gloire apparut à notre père Abraham, lorsqu’il était en Mésopotamie, avant qu’il s’établît à Charran
Le jour suivant, il parut au milieu d’eux comme ils se battaient, et il les exhorta à la paix : Hommes, dit-il, vous êtes frères
Mais le Très-Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme, comme dit le prophète :
Hommes au cou raide, incirconcis de cœur et d’oreilles ! vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi.
Et il dit : Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu.
le traînèrent hors de la ville, et le lapidèrent. Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme nommé Saul.
Des hommes pieux ensevelirent Étienne, et le pleurèrent à grand bruit.
Il y avait auparavant dans la ville un homme nommé Simon, qui, se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l’étonnement du peuple de la Samarie.
Mais, quand ils eurent cru à Philippe, qui leur annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu et du nom de Jésus-Christ, hommes et femmes se firent baptiser.
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amenât liés à Jérusalem.
Les hommes qui l’accompagnaient demeurèrent stupéfaits
Car il prie, et il a vu en vision un homme du nom d’Ananias, qui entrait, et qui lui imposait les mains, afin qu’il recouvrât la vue. Ananias répondit :
Seigneur, j’ai appris de plusieurs personnes tous les maux que cet homme a faits à tes saints dans Jérusalem
Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël
Il y trouva un homme nommé Énée, couché sur un lit depuis huit ans, et paralytique.
Comme Lydde est près de Joppé, les disciples, ayant appris que Pierre s’y trouvait, envoyèrent deux hommes vers lui, pour le prier de venir chez eux sans tarder.
Pierre se leva, et partit avec ces hommes. Lorsqu’il fut arrivé, on le conduisit dans la chambre haute. Toutes les veuves l’entourèrent en pleurant, et lui montrèrent les tuniques et les vêtements que faisait Dorcas pendant qu’elle était avec elles.
Il y avait à Césarée un homme nommé Corneille, centenier dans la cohorte dite italienne.
Cet homme était pieux et craignait Dieu, avec toute sa maison
Envoie maintenant des hommes à Joppé, et fais venir Simon, surnommé Pierre
Tandis que Pierre ne savait en lui-même que penser du sens de la vision qu’il avait eue, voici, les hommes envoyés par Corneille, s’étant informés de la maison de Simon, se présentèrent à la porte,
Et comme Pierre était à réfléchir sur la vision, l’Esprit lui dit : Voici, trois hommes te demandent
Pierre donc descendit, et il dit à ces hommes : Voici, je suis celui que vous cherchez
Ils répondirent : Corneille, centenier, homme juste et craignant Dieu, et de qui toute la nation des Juifs rend un bon témoignage, a été divinement averti par un saint ange de te faire venir dans sa maison et d’entendre tes paroles.
Et voici, aussitôt trois hommes envoyés de Césarée vers moi se présentèrent devant la porte de la maison où j’étais.
L’Esprit me dit de partir avec eux sans hésiter. Les six hommes que voici m’accompagnèrent, et nous entrâmes dans la maison de Corneille.
Cet homme nous raconta comment il avait vu dans sa maison l’ange se présentant à lui et disant : Envoie à Joppé, et fais venir Simon, surnommé Pierre,
Il y eut cependant parmi eux quelques hommes de Chypre et de Cyrène, qui, étant venus à Antioche, s’adressèrent aussi aux Grecs, et leur annoncèrent la bonne nouvelle du Seigneur Jésus.
Car c’était un homme de bien, plein d’Esprit-Saint et de foi. Et une foule assez nombreuse se joignit au Seigneur.
Le peuple s’écria : Voix d’un dieu, et non d’un homme !
qui était avec le proconsul Sergius Paulus, homme intelligent. Ce dernier fit appeler Barnabas et Saul, et manifesta le désir d’entendre la parole de Dieu.
Homme plein de toute espèce de ruse et de fraude, fils du diable, ennemi de toute justice, ne cesseras-tu point de pervertir les voies droites du Seigneur ?
Après la lecture de la loi et des prophètes, les chefs de la synagogue leur envoyèrent dire : Hommes frères, si vous avez quelque exhortation à adresser au peuple, parlez.
Paul se leva, et, ayant fait signe de la main, il dit : Hommes Israélites, et vous qui craignez Dieu, écoutez !
puis, l’ayant rejeté, il leur suscita pour roi David, auquel il a rendu ce témoignage : J’ai trouvé David, fils d’Isaï, homme selon mon cœur, qui accomplira toutes mes volontés.
Hommes frères, fils de la race d’Abraham, et vous qui craignez Dieu, c’est à vous que cette parole de salut a été envoyée.
Sachez donc, hommes frères, que c’est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé,
À Lystre, se tenait assis un homme impotent des pieds, boiteux de naissance, et qui n’avait jamais marché.
en s’écriant : Ô hommes, pourquoi agissez-vous de la sorte ? Nous aussi, nous sommes des hommes de la même nature que vous
Quelques hommes, venus de la Judée, enseignaient les frères, en disant : Si vous n’êtes circoncis selon le rite de Moïse, vous ne pouvez être sauvés.
Une grande discussion s’étant engagée, Pierre se leva, et leur dit : Hommes frères, vous savez que dès longtemps Dieu a fait un choix parmi vous, afin que, par ma bouche, les païens entendissent la parole de l’Évangile et qu’ils crussent.
Lorsqu’ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole, et dit : Hommes frères, écoutez-moi !
afin que le reste des hommes cherche le Seigneur, ainsi que toutes les nations sur lesquelles mon nom est invoqué, dit le Seigneur, qui fait ces choses,
Alors il parut bon aux apôtres et aux anciens, et à toute l’Église, de choisir parmi eux et d’envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabas, Jude appelé Barsabas et Silas, hommes considérés entre les frères.
Ayant appris que quelques hommes partis de chez nous, et auxquels nous n’avions donné aucun ordre, vous ont troublés par leurs discours et ont ébranlé vos âmes,
ces hommes qui ont exposé leur vie pour le nom de notre Seigneur Jésus-Christ.
et se mit à nous suivre, Paul et nous. Elle criait : Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut, et ils vous annoncent la voie du salut.
Ils les présentèrent aux préteurs, en disant : Ces hommes troublent notre ville
Quand il fit jour, les préteurs envoyèrent les licteurs pour dire au geôlier : Relâche ces hommes.
Mais les Juifs, jaloux prirent avec eux quelques méchants hommes de la populace, provoquèrent des attroupements, et répandirent l’agitation dans la ville. Ils se portèrent à la maison de Jason, et ils cherchèrent Paul et Silas, pour les amener vers le peuple.
Plusieurs d’entre eux crurent, ainsi que beaucoup de femmes grecques de distinction, et beaucoup d’hommes.
Il s’entretenait donc dans la synagogue avec les Juifs et les hommes craignant Dieu, et sur la place publique chaque jour avec ceux qu’il rencontrait.
Paul, debout au milieu de l’Aréopage, dit : Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux.
Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme
Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure
Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, à de l’argent, ou à de la pierre, sculptés par l’art et l’industrie de l’homme.
Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir,
parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts...
Et sortant de là, il entra chez un nommé Justus, homme craignant Dieu, et dont la maison était contiguë à la synagogue.
en disant : Cet homme excite les gens à servir Dieu d’une manière contraire à la loi.
Un Juif nommé Apollos, originaire d’Alexandrie, homme éloquent et versé dans les Écritures, vint à Éphèse.
Ils étaient en tout environ douze hommes.
Et l’homme dans lequel était l’esprit malin s’élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu’ils s’enfuirent de cette maison nus et blessés.
Il les rassembla, avec ceux du même métier, et dit : Ô hommes, vous savez que notre bien-être dépend de cette industrie
et vous voyez et entendez que, non seulement à Éphèse, mais dans presque toute l’Asie, ce Paul a persuadé et détourné une foule de gens, en disant que les dieux faits de main d’homme ne sont pas des dieux.
Cependant le secrétaire, ayant apaisé la foule, dit : Hommes Éphésiens, quel est celui qui ignore que la ville d’Éphèse est la gardienne du temple de la grande Diane et de son simulacre tombé du ciel ?
Car vous avez amené ces hommes, qui ne sont coupables ni de sacrilège, ni de blasphème envers notre déesse.
Or, un jeune homme nommé Éutychus, qui était assis sur la fenêtre, s’endormit profondément pendant le long discours de Paul
Le jeune homme fut ramené vivant, et ce fut le sujet d’une grande consolation.
et qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux.
et vint nous trouver. Il prit la ceinture de Paul, se lia les pieds et les mains, et dit : Voici ce que déclare le Saint-Esprit : L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le lieront de la même manière à Jérusalem, et le livreront entre les mains des païens.
C’est pourquoi fais ce que nous allons te dire. Il y a parmi nous quatre hommes qui ont fait un vœu
Alors Paul prit ces hommes, se purifia, et entra le lendemain dans le temple avec eux, pour annoncer à quel jour la purification serait accomplie et l’offrande présentée pour chacun d’eux.
en criant : Hommes Israélites, au secours ! Voici l’homme qui prêche partout et à tout le monde contre le peuple, contre la loi et contre ce lieu
Hommes frères et pères, écoutez ce que j’ai maintenant à vous dire pour ma défense !
J’ai persécuté à mort cette doctrine, liant et mettant en prison hommes et femmes.
Or, un nommé Ananias, homme pieux selon la loi, et de qui tous les Juifs demeurant à Damas rendaient un bon témoignage, vint se présenter à moi,
car tu lui serviras de témoin, auprès de tous les hommes, des choses que tu as vues et entendues.
Ils l’écoutèrent jusqu’à cette parole. Mais alors ils élevèrent la voix, disant : Ote de la terre un pareil homme ! Il n’est pas digne de vivre.
À ces mots, le centenier alla vers le tribun pour l’avertir, disant : Que vas-tu faire ? Cet homme est Romain.
Paul, les regards fixés sur le sanhédrin, dit : Hommes frères, c’est en toute bonne conscience que je me suis conduit jusqu’à ce jour devant Dieu...
Paul, sachant qu’une partie de l’assemblée était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens, s’écria dans le sanhédrin : Hommes frères, je suis pharisien, fils de pharisiens
Il y eut une grande clameur, et quelques scribes du parti des pharisiens, s’étant levés, engagèrent un vif débat, et dirent : Nous ne trouvons aucun mal en cet homme
Paul appela l’un des centeniers, et dit : Mène ce jeune homme vers le tribun, car il a quelque chose à lui rapporter.
Le centenier prit le jeune homme avec lui, le conduisit vers le tribun, et dit : Le prisonnier Paul m’a appelé, et il m’a prié de t’amener ce jeune homme, qui a quelque chose à te dire.
Le tribun, prenant le jeune homme par la main, et se retirant à l’écart, lui demanda : Qu’as-tu à m’annoncer ?
Le tribun renvoya le jeune homme, après lui avoir recommandé de ne parler à personne de ce rapport qu’il lui avait fait.
Cet homme, dont les Juifs s’étaient saisis, allait être tué par eux, lorsque je survins avec des soldats et le leur enlevai, ayant appris qu’il était Romain.
Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef de la secte des Nazaréens,
C’est pourquoi je m’efforce d’avoir constamment une conscience sans reproche devant Dieu et devant les hommes.
Que les principaux d’entre vous descendent avec moi, dit-il, et s’il y a quelque chose de coupable en cet homme, qu’ils l’accusent.
Comme ils passèrent là plusieurs jours, Festus exposa au roi l’affaire de Paul, et dit : Félix a laissé prisonnier un homme
Je leur ai répondu que ce n’est pas la coutume des Romains de livrer un homme avant que l’inculpé ait été mis en présence de ses accusateurs, et qu’il ait eu la faculté de se défendre sur les choses dont on l’accuse.
Ils sont donc venus ici, et, sans différer, je m’assis le lendemain sur mon tribunal, et je donnai l’ordre qu’on amenât cet homme.
Agrippa dit à Festus : Je voudrais aussi entendre cet homme. Demain, répondit Festus, tu l’entendras.
Alors Festus dit : Roi Agrippa, et vous tous qui êtes présents avec nous, vous voyez cet homme au sujet duquel toute la multitude des Juifs s’est adressée à moi, soit à Jérusalem, soit ici, en s’écriant qu’il ne devait plus vivre.
et, en se retirant, ils se disaient les uns aux autres : Cet homme n’a rien fait qui mérite la mort ou la prison.
Et Agrippa dit à Festus : Cet homme pouvait être relâché, s’il n’en eût pas appelé à César.
C’est pourquoi Paul avertit les autres, en disant : Ô hommes, je vois que la navigation ne se fera pas sans péril et sans beaucoup de dommage, non seulement pour la cargaison et pour le navire, mais encore pour nos personnes.
On n’avait pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit : Ô hommes, il fallait m’écouter et ne pas partir de Crète, afin d’éviter ce péril et ce dommage.
C’est pourquoi, ô hommes, rassurez-vous, car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.
Paul dit au centenier et aux soldats : Si ces hommes ne restent pas dans le navire, vous ne pouvez être sauvés.
Quand les barbares virent l’animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres : Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n’a pas voulu le laisser vivre, après qu’il a été sauvé de la mer.