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Après qu’il eut souffert, il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu.
Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il
Il leur répondit : "Ce n’est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité."
Après avoir dit cela, il fut élevé pendant qu’ils le regardaient, et une nuée le déroba à leurs yeux.
Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent,
La chose a été si connue de tous les habitants de Jérusalem que ce champ a été appelé dans leur langue Hakeldama, c’est-à-dire, champ du sang.
Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux.
Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Alors Pierre, se présentant avec les onze, éleva la voix, et leur parla en ces termes : Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles !
Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés
Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun.
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur,
Cet homme, voyant Pierre et Jean qui allaient y entrer, leur demanda l’aumône.
Ils firent placer au milieu d’eux Pierre et Jean, et leur demandèrent : Par quel pouvoir, ou au nom de qui avez-vous fait cela ?
Alors Pierre, rempli du Saint-Esprit, leur dit : Chefs du peuple, et anciens d’Israël,
Ils leur ordonnèrent de sortir du sanhédrin, et ils délibérèrent entre eux, disant : Que ferons-nous à ces hommes ?
Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là.
Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d’enseigner au nom de Jésus.
Pierre et Jean leur répondirent : Jugez s’il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu’à Dieu
Ils leur firent de nouvelles menaces, et les relâchèrent, ne sachant comment les punir, à cause du peuple, parce que tous glorifiaient Dieu de ce qui était arrivé.
Après avoir été relâchés, ils allèrent vers les leurs, et racontèrent tout ce que les principaux sacrificateurs et les anciens leur avaient dit.
Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance,
Mais un ange du Seigneur, ayant ouvert pendant la nuit les portes de la prison, les fit sortir, et leur dit :
Les huissiers, à leur arrivée, ne les trouvèrent point dans la prison. Ils s’en retournèrent, et firent leur rapport,
Quelqu’un vint leur dire : Voici, les hommes que vous avez mis en prison sont dans le temple, et ils enseignent le peuple.
Puis il leur dit : Hommes Israélites, prenez garde à ce que vous allez faire à l’égard de ces gens.
Ils se rangèrent à son avis. Et ayant appelé les apôtres, ils les firent battre de verges, ils leur défendirent de parler au nom de Jésus, et ils les relâchèrent.
En ce temps-là, le nombre des disciples augmentant, les Hellénistes murmurèrent contre les Hébreux, parce que leurs veuves étaient négligées dans la distribution qui se faisait chaque jour.
Ils les présentèrent aux apôtres, qui, après avoir prié, leur imposèrent les mains.
Tous ceux qui siégeaient au sanhédrin ayant fixé les regards sur Étienne, son visage leur parut comme celui d’un ange.
Ce roi, usant d’artifice contre notre race, maltraita nos pères, au point de leur faire exposer leurs enfants, pour qu’ils ne vécussent pas.
Il pensait que ses frères comprendraient que Dieu leur accordait la délivrance par sa main
Nos pères ne voulurent pas lui obéir, ils le repoussèrent, et ils tournèrent leur cœur vers l’Égypte,
Et, en ces jours-là, ils firent un veau, ils offrirent un sacrifice à l’idole, et se réjouirent de l’œuvre de leurs mains.
En entendant ces paroles, ils étaient furieux dans leur cœur, et ils grinçaient des dents contre lui.
le traînèrent hors de la ville, et le lapidèrent. Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme nommé Saul.
Puis, s’étant mis à genoux, il s’écria d’une voix forte : Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! Et, après ces paroles, il s’endormit.
Des hommes pieux ensevelirent Étienne, et le pleurèrent à grand bruit.
Mais, quand ils eurent cru à Philippe, qui leur annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu et du nom de Jésus-Christ, hommes et femmes se firent baptiser.
Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit.
Lorsque Simon vit que le Saint-Esprit était donné par l’imposition des mains des apôtres, il leur offrit de l’argent,
Comme ils continuaient leur chemin, ils rencontrèrent de l’eau. Et l’eunuque dit : Voici de l’eau
et leur complot parvint à la connaissance de Saul. On gardait les portes jour et nuit, afin de lui ôter la vie.
Alors Barnabas, l’ayant pris avec lui, le conduisit vers les apôtres, et leur raconta comment sur le chemin Saul avait vu le Seigneur, qui lui avait parlé, et comment à Damas il avait prêché franchement au nom de Jésus.
Pierre se leva, et partit avec ces hommes. Lorsqu’il fut arrivé, on le conduisit dans la chambre haute. Toutes les veuves l’entourèrent en pleurant, et lui montrèrent les tuniques et les vêtements que faisait Dorcas pendant qu’elle était avec elles.
Il lui donna la main, et la fit lever. Il appela ensuite les saints et les veuves, et la leur présenta vivante.
et, après leur avoir tout raconté, il les envoya à Joppé.
Vous savez, leur dit-il, qu’il est défendu à un Juif de se lier avec un étranger ou d’entrer chez lui
Il a envoyé la parole aux fils d’Israël, en leur annonçant la paix par Jésus-Christ, qui est le Seigneur de tous.
Pierre se mit à leur exposer d’une manière suivie ce qui s’était passé.
Or, puisque Dieu leur a accordé le même don qu’à nous qui avons cru au Seigneur Jésus-Christ, pouvais-je, moi, m’opposer à Dieu ?
Il y eut cependant parmi eux quelques hommes de Chypre et de Cyrène, qui, étant venus à Antioche, s’adressèrent aussi aux Grecs, et leur annoncèrent la bonne nouvelle du Seigneur Jésus.
Pierre, leur ayant de la main fait signe de se taire, leur raconta comment le Seigneur l’avait tiré de la prison, et il dit : Annoncez-le à Jacques et aux frères. Puis il sortit, et s’en alla dans un autre lieu.
Barnabas et Saul, après s’être acquittés de leur message, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
Pendant qu’ils servaient le Seigneur dans leur ministère et qu’ils jeûnaient, le Saint-Esprit dit : Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés.
Alors, après avoir jeûné et prié, ils leur imposèrent les mains, et les laissèrent partir.
Mais Élymas, le magicien, car c’est ce que signifie son nom, leur faisait opposition, cherchant à détourner de la foi le proconsul.
De Perge ils poursuivirent leur route, et arrivèrent à Antioche de Pisidie. Étant entrés dans la synagogue le jour du sabbat, ils s’assirent.
Après la lecture de la loi et des prophètes, les chefs de la synagogue leur envoyèrent dire : Hommes frères, si vous avez quelque exhortation à adresser au peuple, parlez.
et, ayant détruit sept nations au pays de Canaan, il leur en accorda le territoire comme propriété.
Après cela, durant quatre cent cinquante ans environ, il leur donna des juges, jusqu’au prophète Samuel.
Ils demandèrent alors un roi. Et Dieu leur donna, pendant quarante ans, Saül, fils de Kis, de la tribu de Benjamin
puis, l’ayant rejeté, il leur suscita pour roi David, auquel il a rendu ce témoignage : J’ai trouvé David, fils d’Isaï, homme selon mon cœur, qui accomplira toutes mes volontés.
Car les habitants de Jérusalem et leurs chefs ont méconnu Jésus, et, en le condamnant, ils ont accompli les paroles des prophètes qui se lisent chaque sabbat.
Dieu l’a accomplie pour nous leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon ce qui est écrit dans le Psaume deuxième : Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui.
C’est pourquoi il dit encore ailleurs : Tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption.
Paul et Barnabas leur dirent avec assurance : C’est à vous premièrement que la parole de Dieu devait être annoncée
Paul et Barnabas secouèrent contre eux la poussière de leurs pieds, et allèrent à Icone,
Ils restèrent cependant assez longtemps à Icone, parlant avec assurance, appuyés sur le Seigneur, qui rendait témoignage à la parole de sa grâce et permettait qu’il se fît par leurs mains des prodiges et des miracles.
Et comme les païens et les Juifs, de concert avec leurs chefs, se mettaient en mouvement pour les outrager et les lapider,
Les apôtres Barnabas et Paul, ayant appris cela, déchirèrent leurs vêtements, et se précipitèrent au milieu de la foule,
Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies,
À peine purent-ils, par ces paroles, empêcher la foule de leur offrir un sacrifice.
Après leur arrivée, ils convoquèrent l’Église, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux, et comment il avait ouvert aux nations la porte de la foi.
Après avoir été accompagnés par l’Église, ils poursuivirent leur route à travers la Phénicie et la Samarie, racontant la conversion des païens, et ils causèrent une grande joie à tous les frères.
Une grande discussion s’étant engagée, Pierre se leva, et leur dit : Hommes frères, vous savez que dès longtemps Dieu a fait un choix parmi vous, afin que, par ma bouche, les païens entendissent la parole de l’Évangile et qu’ils crussent.
Et Dieu, qui connaît les cœurs, leur a rendu témoignage, en leur donnant le Saint-Esprit comme à nous
il n’a fait aucune différence entre nous et eux, ayant purifié leurs cœurs par la foi.
mais qu’on leur écrive de s’abstenir des souillures des idoles, de l’impudicité, des animaux étouffés et du sang.
Ayant appris que quelques hommes partis de chez nous, et auxquels nous n’avions donné aucun ordre, vous ont troublés par leurs discours et ont ébranlé vos âmes,
ces hommes qui ont exposé leur vie pour le nom de notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous annonceront de leur bouche les mêmes choses.
Après l’avoir lue, les frères furent réjouis de l’encouragement qu’elle leur apportait.
mais Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur œuvre.
Les maîtres de la servante, voyant disparaître l’espoir de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique devant les magistrats.
La foule se souleva aussi contre eux, et les préteurs, ayant fait arracher leurs vêtements, ordonnèrent qu’on les battît de verges.
Le geôlier, ayant reçu cet ordre, les jeta dans la prison intérieure, et leur mit les ceps aux pieds.
Il les prit avec lui, à cette heure même de la nuit, il lava leurs plaies, et aussitôt il fut baptisé, lui et tous les siens.
Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa famille de ce qu’il avait cru en Dieu.
Or, tous les Athéniens et les étrangers demeurant à Athènes ne passaient leur temps qu’à dire ou à écouter des nouvelles.
Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure
Les Juifs faisant alors de l’opposition et se livrant à des injures, Paul secoua ses vêtements, et leur dit : Que votre sang retombe sur votre tête ! J’en suis pur. Dès maintenant, j’irai vers les païens.
Pendant qu’Apollos était à Corinthe, Paul, après avoir parcouru les hautes provinces de l’Asie, arriva à Éphèse. Ayant rencontré quelques disciples, il leur dit :
Lorsque Paul leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en langues et prophétisaient.
L’esprit malin leur répondit : Je connais Jésus, et je sais qui est Paul
Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde : on en estima la valeur à cinquante mille pièces d’argent.
Lorsqu’ils furent arrivés vers lui, il leur dit : Vous savez de quelle manière, depuis le premier jour où je suis entré en Asie, je me suis sans cesse conduit avec vous,
Mais, lorsque nous fûmes au terme des sept jours, nous nous acheminâmes pour partir, et tous nous accompagnèrent avec leurs femmes et leurs enfants jusque hors de la ville. Nous nous mîmes à genoux sur le rivage, et nous priâmes.
Alors il répondit : Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur ? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus.
Or, ils ont appris que tu enseignes à tous les Juifs qui sont parmi les païens à renoncer à Moïse, leur disant de ne pas circoncire les enfants et de ne pas se conformer aux coutumes.
prends-les avec toi, purifie-toi avec eux, et pourvois à leur dépense, afin qu’ils se rasent la tête. Et ainsi tous sauront que ce qu’ils ont entendu dire sur ton compte est faux, mais que toi aussi tu te conduis en observateur de la loi.
À l’égard des païens qui ont cru, nous avons décidé et nous leur avons écrit qu’ils eussent à s’abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l’impudicité.
Lorsqu’ils entendirent qu’il leur parlait en langue hébraïque, ils redoublèrent de silence. Et Paul dit :
Et ils poussaient des cris, jetaient leurs vêtements, lançaient de la poussière en l’air.
Cet homme, dont les Juifs s’étaient saisis, allait être tué par eux, lorsque je survins avec des soldats et le leur enlevai, ayant appris qu’il était Romain.
Voulant connaître le motif pour lequel ils l’accusaient, je l’amenai devant leur sanhédrin.
J’ai trouvé qu’il était accusé au sujet de questions relatives à leur loi, mais qu’il n’avait commis aucun crime qui mérite la mort ou la prison.
Je leur ai répondu que ce n’est pas la coutume des Romains de livrer un homme avant que l’inculpé ait été mis en présence de ses accusateurs, et qu’il ait eu la faculté de se défendre sur les choses dont on l’accuse.
ils avaient avec lui des discussions relatives à leur religion particulière, et à un certain Jésus qui est mort, et que Paul affirmait être vivant.
car tu connais parfaitement leurs coutumes et leurs discussions. Je te prie donc de m’écouter avec patience.
afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés.
Un léger vent du sud vint à souffler, et, se croyant maîtres de leur dessein, ils levèrent l’ancre et côtoyèrent de près l’île de Crète.
On n’avait pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit : Ô hommes, il fallait m’écouter et ne pas partir de Crète, afin d’éviter ce péril et ce dommage.
Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l’ayant mis au feu, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main.
Ils lui fixèrent un jour, et plusieurs vinrent le trouver dans son logis. Paul leur annonça le royaume de Dieu, en rendant témoignage, et en cherchant, par la loi de Moïse et par les prophètes, à les persuader de ce qui concerne Jésus. L’entretien dura depuis le matin jusqu’au soir.