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Egli era de' nostri, egli aveva ricevuto la sorte dello stesso nostro ministero.
E li tirarono a sorte; e la sorte cadde su Mattia, che fu aggregato agli undici apostoli.
con tal previsione, annunziò la risurrezione di Cristo, dicendo ch'egli non sarebbe stato lasciato nella morte, e che il suo corpo non avrebbe veduto la corruzione.
E Pietro a lei: «perché, dunque, vi siete accordati a tentar lo Spirito del Signore? Ecco stanno sulla porta i piedi di coloro che han sepolto tuo marito, e porteranno via anche te!».
Ma un angelo del Signore, di notte, aprì le porte della prigione, e, condottili fuori, disse loro:
A dir tale risposta, essi fremevano dalla rabbia, e si proponevano di metterli a morte.
Stefano poi, pieno di grazia e di fortezza, faceva prodigi e segni grandi tra il popolo;
Allora egli uscì dal paese de' Caldei, e si stabilì in Caran. Di là, dopo la morte di suo padre, Iddio lo fece venir in questo paese dove adesso abitate.
Poi, caduto ginocchioni, gridò a gran voce: «Signore, non imputar loro questo peccato». E, detto questo, si addormentò nel Signore. E Saulo consentì alla morte di lui.
Tu non hai parte né sorte in tutto questo, perché il tuo cuore non è retto dinanzi a Dio.
ma la cosa venne a notizia di Saulo. Essi, giorno e notte, facevan la guardia alle porte, per ucciderlo;
- E in Cesarea v'era un uomo, di nome Cornelio, centurione della coorte detta l'Italica;
Or com'ebbero passata la prima e la seconda guardia, giunsero alle porte di ferro che mette in città. La porta s'aprì da sé davanti a loro; uscirono, si inoltrarono per una strada, e, a un tratto, l'angelo si partì da lui.
Distrusse poi sette nazioni nella terra di Canaan, la dette loro a sorte,
pur non trovando in lui causa di morte, chiesero a Pilato che fosse ucciso;
Ma Dio lo risuscitò da morte il terzo giorno; e fu visto per molti giorni da coloro,
Di più: il sacerdote di Giove, ch'era all'entrata della città, menò de' tori con delle ghirlande dinanzi alle porte, e voleva col popolo, offrir loro un sacrificio.
A un tratto, s'avvertì un gran terremoto; tanto che la prigione ne fu scossa tutta; e le porte si spalancarono, e le catene di tutti si sciolsero.
Il carceriere, destatosi in sussulto e vedute le porte della prigione aperte, sfoderata la spada, stava per uccidersi pensando che i carcerati fossero in fuga.
Or giunse ad Efeso un certo Giudeo chiamato Apollo, oriundo di Alessandria, uomo eloquente e forte nelle Scritture.
e un giovinetto, per nome Eutico, postosi a sedere sulla finestra, mentre Paolo tirava il suo dire in lungo, fu preso da forte sonnolenza, e, vinto dal sonno, cadde giù dal terzo piano e fu levato da terra morto.
Tutta la città fu in rumore, e il popolo accorreva. Preso Paolo, lo trascinarono fuori; e le porte del tempio furon subito chiuse.
Mentre cercavano d'ucciderlo, giunse al tribuno della coorte la notizia che tutta Gerusalemme era sossopra.
Nella folla, chi gridava una cosa, chi un'altra; e non riuscendo a capire il netto, comandò che fosse menato in fortezza.
Stando per entrare in fortezza, Paolo chiese al tribuno: «Mi è permesso dirti alcunchè?». E quello rispose: «Sai il greco?
e ho perseguitato a morte questa dottrina, procurando che uomini e donne fossero arrestati e messi in prigione,
il tribuno comandò che Paolo fosse menato in fortezza, battuto con flagelli e messo alla tortura, a fin di scoprire per qual motivo gridassero così contro di lui.
Il tumulto cresceva; e il tribuno, temendo che Paolo fosse fatto da loro a pezzi, comandò ai soldati che scendessero a prenderlo in mezzo e condurlo in fortezza.
Ma un figliuolo della sorella di Paolo, risaputo di questa insidia, andò alla fortezza, entrò, e riferì la cosa a Paolo.
Ma trovai ch'è accusato di questioni della loro legge, senza che ci sia colpa alcuna degna di morte o di catene.
Il giorno seguente, lasciando che i cavalieri andassero con lui, ritornarono alla fortezza.
Dato ch'io sia colpevole e abbia fatto cosa degna di morte, non ricuso di morire; ma se nelle accuse di costoro non c'è nulla di vero, nessuno mi può donare ad essi. Mi appello a Cesare!».
Io però ho riconosciuto che non ha fatto nulla che meriti la morte; e siccome egli stesso s'è appellato ad Augusto, io ho deciso di mandarlo.
e lo feci in Gerusalemme, dove, avutone il potere da' capi dei sacerdoti, chiusi nelle prigioni molti santi; e quando eran messi a morte, diedi il mio voto.
e, ritiratisi in disparte, dicevano tra loro: «Quest'uomo non ha fatto nulla che meriti morte o prigione».
- Quando dunque fu determinato di far vela per l'Italia, Paolo e cert'altri prigionieri furon consegnati a un centurione, di nome Giulio, della coorte Augusta.
I quali dopo avermi esaminato, volevano rilasciarmi, perché nessuna colpa era in me degna di morte.
No había entre ellos ningún necesitado, porque todos los que poseían campos o casas los vendían, traían el importe de la venta,
Había en Cesarea un hombre, llamado Cornelio, centurión de la cohorte Itálica,
Cuando llegaron donde él, les dijo: «Vosotros sabéis cómo me comporté siempre con vosotros, desde el primer día que entré en Asia,
Intentaban darle muerte, cuando subieron a decir al tribuno de la cohorte: «Toda Jerusalén está revuelta.»
Cuando se decidió que nos embarcásemos rumbo a Italia, fueron confiados Pablo y algunos otros prisioneros a un centurión de la cohorte Augusta, llamado Julio.
Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple.
Ils reconnaissaient que c’était celui qui était assis à la Belle porte du temple pour demander l’aumône, et ils furent remplis d’étonnement et de surprise au sujet de ce qui lui était arrivé.
Mais Dieu a accompli de la sorte ce qu’il avait annoncé d’avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir.
Les jeunes gens, s’étant levés, l’enveloppèrent, l’emportèrent, et l’ensevelirent.
Alors Pierre lui dit : Comment vous êtes-vous accordés pour tenter l’Esprit du Seigneur ? Voici, ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t’emporteront.
Au même instant, elle tomba aux pieds de l’apôtre, et expira. Les jeunes gens, étant entrés, la trouvèrent morte
en sorte qu’on apportait les malades dans les rues et qu’on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrît quelqu’un d’eux.
Mais un ange du Seigneur, ayant ouvert pendant la nuit les portes de la prison, les fit sortir, et leur dit :
en disant : Nous avons trouvé la prison soigneusement fermée, et les gardes qui étaient devant les portes
et ils furent transportés à Sichem, et déposés dans le sépulcre qu’Abraham avait acheté, à prix d’argent, des fils d’Hémor, père de Sichem.
Vous avez porté la tente de Moloch et l’étoile du dieu Remphan, ces images que vous avez faites pour les adorer! Aussi vous transporterai-je au delà de Babylone.
Puis, s’étant mis à genoux, il s’écria d’une voix forte : Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! Et, après ces paroles, il s’endormit.
Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël
et leur complot parvint à la connaissance de Saul. On gardait les portes jour et nuit, afin de lui ôter la vie.
Il y avait à Césarée un homme nommé Corneille, centenier dans la cohorte dite italienne.
Tandis que Pierre ne savait en lui-même que penser du sens de la vision qu’il avait eue, voici, les hommes envoyés par Corneille, s’étant informés de la maison de Simon, se présentèrent à la porte,
Et voici, aussitôt trois hommes envoyés de Césarée vers moi se présentèrent devant la porte de la maison où j’étais.
Lorsqu’ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s’ouvrit d’elle-même devant eux
Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour écouter.
Qu’il l’ait ressuscité des morts, de telle sorte qu’il ne retournera pas à la corruption, c’est ce qu’il a déclaré, en disant : Je vous donnerai Les grâces saintes promises à David, ces grâces qui sont assurées.
et, à l’issue de l’assemblée, beaucoup de Juifs et de prosélytes pieux suivirent Paul et Barnabas, qui s’entretinrent avec eux, et les exhortèrent à rester attachés à la grâce de Dieu.
Car ainsi nous l’a ordonné le Seigneur : Je t’ai établi pour être la lumière des nations, pour porter le salut jusqu’aux extrémités de la terre.
dit d’une voix forte : Lève-toi droit sur tes pieds. Et il se leva d’un bond et marcha.
Le prêtre de Jupiter, dont le temple était à l’entrée de la ville, amena des taureaux avec des bandelettes vers les portes, et voulait, de même que la foule, offrir un sacrifice.
en s’écriant : Ô hommes, pourquoi agissez-vous de la sorte ? Nous aussi, nous sommes des hommes de la même nature que vous
Après leur arrivée, ils convoquèrent l’Église, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux, et comment il avait ouvert aux nations la porte de la foi.
Maintenant donc, pourquoi tentez-vous Dieu, en mettant sur le cou des disciples un joug que ni nos pères ni nous n’avons pu porter ?
Jude et Silas, qui étaient eux-mêmes prophètes, les exhortèrent et les fortifièrent par plusieurs discours.
Le jour du sabbat, nous nous rendîmes, hors de la porte, vers une rivière, où nous pensions que se trouvait un lieu de prière. Nous nous assîmes, et nous parlâmes aux femmes qui étaient réunies.
Tout à coup il se fit un grand tremblement de terre, en sorte que les fondements de la prison furent ébranlés
Le geôlier se réveilla, et, lorsqu’il vit les portes de la prison ouvertes, il tira son épée et allait se tuer, pensant que les prisonniers s’étaient enfuis.
Mais Paul cria d’une voix forte : Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.
Les licteurs rapportèrent ces paroles aux préteurs, qui furent effrayés en apprenant qu’ils étaient Romains.
Quand ils furent sortis de la prison, ils entrèrent chez Lydie, et, après avoir vu et exhorté les frères, ils partirent.
Mais les Juifs, jaloux prirent avec eux quelques méchants hommes de la populace, provoquèrent des attroupements, et répandirent l’agitation dans la ville. Ils se portèrent à la maison de Jason, et ils cherchèrent Paul et Silas, pour les amener vers le peuple.
Cela dura deux ans, de sorte que tous ceux qui habitaient l’Asie, Juifs et Grecs, entendirent la parole du Seigneur.
Et l’homme dans lequel était l’esprit malin s’élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu’ils s’enfuirent de cette maison nus et blessés.
Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde : on en estima la valeur à cinquante mille pièces d’argent.
Lorsque le tumulte eut cessé, Paul réunit les disciples, et, après les avoir exhortés, prit congé d’eux, et partit pour aller en Macédoine.
Veillez donc, vous souvenant que, durant trois années, je n’ai cessé nuit et jour d’exhorter avec larmes chacun de vous.
Toute la ville fut émue, et le peuple accourut de toutes parts. Ils se saisirent de Paul, et le traînèrent hors du temple, dont les portes furent aussitôt fermées.
Comme ils cherchaient à le tuer, le bruit vint au tribun de la cohorte que tout Jérusalem était en confusion.
Lorsque Paul fut sur les degrés, il dut être porté par les soldats, à cause de la violence de la foule
Au moment d’être introduit dans la forteresse, Paul dit au tribun : M’est-il permis de te dire quelque chose ? Le tribun répondit : Tu sais le grec ?
Le tribun commanda de faire entrer Paul dans la forteresse, et de lui donner la question par le fouet, afin de savoir pour quel motif ils criaient ainsi contre lui.
Comme la discorde allait croissant, le tribun craignant que Paul ne fût mis en pièces par ces gens, fit descendre les soldats pour l’enlever du milieu d’eux et le conduire à la forteresse.
Le fils de la sœur de Paul, ayant eu connaissance du guet-apens, alla dans la forteresse en informer Paul.
Paul appela l’un des centeniers, et dit : Mène ce jeune homme vers le tribun, car il a quelque chose à lui rapporter.
Le lendemain, laissant les cavaliers poursuivre la route avec lui, ils retournèrent à la forteresse.
Cinq jours après, arriva le souverain sacrificateur Ananias, avec des anciens et un orateur nommé Tertulle. Ils portèrent plainte au gouverneur contre Paul.
C’était à eux de paraître en ta présence et de se porter accusateurs, s’ils avaient quelque chose contre moi.
Les principaux sacrificateurs et les principaux d’entre les Juifs lui portèrent plainte contre Paul. Ils firent des instances auprès de lui, et, dans des vues hostiles,
Quand il fut arrivé, les Juifs qui étaient venus de Jérusalem l’entourèrent, et portèrent contre lui de nombreuses et graves accusations, qu’ils n’étaient pas en état de prouver.
contre lequel, lorsque j’étais à Jérusalem, les principaux sacrificateurs et les anciens des Juifs ont porté plainte, en demandant sa condamnation.
Lorsqu’il fut décidé que nous nous embarquerions pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centenier de la cohorte Auguste, nommé Julius.
après l’avoir hissée, on se servit des moyens de secours pour ceindre le navire, et, dans la crainte de tomber sur la Syrte, on abaissa les voiles. C’est ainsi qu’on se laissa emporter par le vent.
Le soleil et les étoiles ne parurent pas pendant plusieurs jours, et la tempête était si forte que nous perdîmes enfin toute espérance de nous sauver.
Maintenant je vous exhorte à prendre courage
Ils lui répondirent : Nous n’avons reçu de Judée aucune lettre à ton sujet, et il n’est venu aucun frère qui ait rapporté ou dit du mal de toi.
vnnd Moses wart geleret ynn aller weyßheyt der Egypter, vnnd war mechtig ynn wercken vnd worten.
Aber es wart Saulo kund gethan das sie yhm nach stelleten, sie hielten aber tag vnd nacht an den pforten, das sie yhn abtheten,
da er yhn auch greyff, legt er yhn yns gefencknis, vnd vbirantworte yhn vier geuierden kriegs knechten, yhn zu bewaren, vnd gedacht yhn nach den ostern dem volck fur zufuren,
Die weyl wyr gehort haben, das ettliche von den vnsern sind außgangen, vnd haben euch mit worten yrre gemacht vnd ewre seelen bekumert, vnd sagen yhr sollt euch beschneyden lassen vnnd hallten das gesetz, wilchen wir nichts befolhen haben,
Da dise abgefertiget waren, kamen sie gen Antiochien, vnd versameleten die menge vnd vbirantworten den brieff,
Als sie aber durch die stedt zogen, vberantworten sie yhn zuhallten den satz, wilcher von den Apostel vnd Elltisten zu Jerusalem beschlossen ware,
der nam den gurtel Pauli, vnd band seyne hende vnd fuesß, vnd sprach, das saget der heylige geyst, den man des der gurttel ist, werden die Juden also binden zu Jerusalem, vnd vbirantworten ynn der heyden hende.
Jhr menner, lieben bruder vnd veter, horet meyn verantworten an euch,
Da die gen Cesarian kamen, vbirantworten sie den brieff dem landpfleger, vnd stelleten yhm Paulon auch dar,
Paulus aber, da yhm der Landpfleger wincket zu reden, antwortet, Die weyll ich weys, das du ynn dißem volck, nu viel iar eyn richter bist, will ich guttis mutts mich selb verantwortten,
Da aber Paulus redet von der gerechtickeyt, vnd von der keuscheyt, vnd von dem zukunfftigen gericht, erschrack Felix, vnd antwortet, Es bleybe also dis mal, gang hyn, wenn ich gelegen zeyt hab, will ich dyr her lassen ruffen,
Da antwortet Festus, Paulus wurde iah behalten zu Cesarea, aber er wurde ynn kurtz wider dahyn zyhen,
Da besprach sich Festus mit dem rad, vnd antwortet, auff den Keyser hastu dich beruffen, zum keyser solltu zihen.
Wilchen ich antworttet, Es ist der Romer weyße, nit das eyn mensch ergeben werde vmbtzubringen, ehe denn der verklagete habe seyne verkleger gegenwertig, vnd rawm empfahe, sich der anklage zuuerantworten,
Agrippas aber sprach zu Paulo, Es ist dyr erleubt fur dich zureden, Da verantwortet sich Paulus vnd reckt die hand aus,
Da furchten sie sich, sie wurden an hartte orte anstossen, vnd worffen vom hynder schiff vier ancker, vnd wunschten das tag wurde,
With many other words he testified, and exhorted them, saying, “Save yourselves from this crooked generation!”
Being let go, they came to their own company, and reported all that the chief priests and the elders had said to them.
But the officers who came didn’t find them in the prison. They returned and reported,
who, when he had come, and had seen the grace of God, was glad. He exhorted them all, that with purpose of heart they should remain near to the Lord.
When she recognized Peter’s voice, she didn’t open the gate for joy, but ran in, and reported that Peter was standing in front of the gate.
When they had arrived, and had gathered the assembly together, they reported all the things that God had done with them, and that he had opened a door of faith to the nations.
When they had come to Jerusalem, they were received by the assembly and the apostles and the elders, and they reported all things that God had done with them.
Simeon has reported how God first visited the nations, to take out of them a people for his name.
The jailer reported these words to Paul, saying, “The magistrates have sent to let you go
The sergeants reported these words to the magistrates, and they were afraid when they heard that they were Romans,
But those who escorted Paul brought him as far as Athens. Receiving a commandment to Silas and Timothy that they should come to him very quickly, they departed.
They brought the boy in alive, and were greatly comforted.
When he had greeted them, he reported one by one the things which God had worked among the Gentiles through his ministry.
One Ananias, a devout man according to the law, well reported of by all the Jews who lived in Damascus,
Porque foi contado conosco e alcançou sorte neste ministério.
E, lançando-lhes sortes, caiu a sorte sobre Matias. E por voto comum foi contado com os onze apóstolos.
Ao qual Deus ressuscitou, soltas as ânsias da morte, pois não era possível que fosse retido por ela
De sorte que, exaltado pela destra de Deus, e tendo recebido do Pai a promessa do Espírito Santo, derramou isto que vós agora vedes e ouvis.
De sorte que foram batizados os que de bom grado receberam a sua palavra
De sorte que transportavam os enfermos para as ruas, e os punham em leitos e em camilhas para que ao menos a sombra de Pedro, quando este passasse, cobrisse alguns deles.
E também Saulo consentiu na morte dele. E fez-se naquele dia uma grande perseguição contra a igreja que estava em Jerusalém
Tu não tens parte nem sorte nesta palavra, porque o teu coração não é reto diante de Deus.
E Saulo, respirando ainda ameaças e mortes contra os discípulos do Senhor, dirigiu-se ao sumo sacerdote.
E havia em Cesaréia um homem por nome Cornélio, centurião da coorte chamada italiana,
E, destruindo a sete nações na terra de Canaã, deu-lhes por sorte a terra deles.
E, embora não achassem alguma causa de morte, pediram a Pilatos que ele fosse morto.
De sorte que as igrejas eram confirmadas na fé, e cada dia cresciam em número.
De sorte que creram muitos deles, e também mulheres gregas da classe nobre, e não poucos homens.
De sorte que disputava na sinagoga com os judeus e religiosos, e todos os dias na praça com os que se apresentavam.
De sorte que até os lenços e aventais se levavam do seu corpo aos enfermos, e as enfermidades fugiam deles, e os espíritos malignos saíam.
E, logo que chegaram junto dele, disse-lhes: Vós bem sabeis, desde o primeiro dia em que entrei na Ásia, como em todo esse tempo me portei no meio de vós,
E, procurando eles matá-lo, chegou ao tribuno da coorte o aviso de que Jerusalém estava toda em confusão
E persegui este caminho até à morte, prendendo, e pondo em prisões, tanto homens como mulheres,
E quando o sangue de Estêvão, tua testemunha, se derramava, também eu estava presente, e consentia na sua morte, e guardava as capas dos que o matavam.
Se fiz algum agravo, ou cometi alguma coisa digna de morte, não recuso morrer
Aos quais respondi não ser costume dos romanos entregar algum homem à morte, sem que o acusado tenha presentes os seus acusadores, e possa defender-se da acusação.
De sorte que, chegando eles aqui juntos, no dia seguinte, sem fazer dilação alguma, assentado no tribunal, mandei que trouxessem o homem.
Mas, achando eu que nenhuma coisa digna de morte fizera, e apelando ele mesmo também para Augusto, tenho determinado enviar-lho.
E, apartando-se dali falavam uns com os outros, dizendo: Este homem nada fez digno de morte ou de prisões.
E, como se determinou que havíamos de navegar para a Itália, entregaram Paulo, e alguns outros presos, a um centurião por nome Júlio, da coorte augusta.
Os quais, havendo-me examinado, queriam soltar-me, por não haver em mim crime algum de morte.