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Term: paul • Found: 537
que estaba con el procónsul Sergio Paulo, hombre prudente. Este hizo llamar a Bernabé y Saulo, deseoso de escuchar la Palabra de Dios.
qui était avec le proconsul Sergius Paulus, homme intelligent. Ce dernier fit appeler Barnabas et Saul, et manifesta le désir d’entendre la parole de Dieu.
Alors Saul, appelé aussi Paul, rempli du Saint-Esprit, fixa les regards sur lui, et dit :
Paul et ses compagnons, s’étant embarqués à Paphos, se rendirent à Perge en Pamphylie. Jean se sépara d’eux, et retourna à Jérusalem.
Paul se leva, et, ayant fait signe de la main, il dit : Hommes Israélites, et vous qui craignez Dieu, écoutez !
et, à l’issue de l’assemblée, beaucoup de Juifs et de prosélytes pieux suivirent Paul et Barnabas, qui s’entretinrent avec eux, et les exhortèrent à rester attachés à la grâce de Dieu.
Les Juifs, voyant la foule, furent remplis de jalousie, et ils s’opposaient à ce que disait Paul, en le contredisant et en l’injuriant.
Paul et Barnabas leur dirent avec assurance : C’est à vous premièrement que la parole de Dieu devait être annoncée
Paul et Barnabas secouèrent contre eux la poussière de leurs pieds, et allèrent à Icone,
À Icone, Paul et Barnabas entrèrent ensemble dans la synagogue des Juifs, et ils parlèrent de telle manière qu’une grande multitude de Juifs et de Grecs crurent.
Paul et Barnabas, en ayant eu connaissance, se réfugièrent dans les villes de la Lycaonie, à Lystre et à Derbe, et dans la contrée d’alentour.
Il écoutait parler Paul. Et Paul, fixant les regards sur lui et voyant qu’il avait la foi pour être guéri,
À la vue de ce que Paul avait fait, la foule éleva la voix, et dit en langue lycaonienne : Les dieux sous une forme humaine sont descendus vers nous.
Ils appelaient Barnabas Jupiter, et Paul Mercure, parce que c’était lui qui portait la parole.
Les apôtres Barnabas et Paul, ayant appris cela, déchirèrent leurs vêtements, et se précipitèrent au milieu de la foule,
Alors survinrent d’Antioche et d’Icone des Juifs qui gagnèrent la foule, et qui, après avoir lapidé Paul, le traînèrent hors de la ville, pensant qu’il était mort.
Paul et Barnabas eurent avec eux un débat et une vive discussion
Toute l’assemblée garda le silence, et l’on écouta Barnabas et Paul, qui racontèrent tous les miracles et les prodiges que Dieu avait faits par eux au milieu des païens.
Alors il parut bon aux apôtres et aux anciens, et à toute l’Église, de choisir parmi eux et d’envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabas, Jude appelé Barsabas et Silas, hommes considérés entre les frères.
nous avons jugé à propos, après nous être réunis tous ensemble, de choisir des délégués et de vous les envoyer avec nos bien-aimés Barnabas et Paul,
Paul et Barnabas demeurèrent à Antioche, enseignant et annonçant, avec plusieurs autres, la bonne nouvelle de la parole du Seigneur.
Quelques jours s’écoulèrent, après lesquels Paul dit à Barnabas : Retournons visiter les frères dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur, pour voir en quel état ils sont.
mais Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur œuvre.
Paul fit choix de Silas, et partit, recommandé par les frères à la grâce du Seigneur.
Paul voulut l’emmener avec lui
Pendant la nuit, Paul eut une vision : un Macédonien lui apparut, et lui fit cette prière : Passe en Macédoine, secours-nous !
Après cette vision de Paul, nous cherchâmes aussitôt à nous rendre en Macédoine, concluant que le Seigneur nous appelait à y annoncer la bonne nouvelle.
L’une d’elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le cœur, pour qu’elle fût attentive à ce que disait Paul.
et se mit à nous suivre, Paul et nous. Elle criait : Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut, et ils vous annoncent la voie du salut.
Elle fit cela pendant plusieurs jours. Paul fatigué se retourna, et dit à l’esprit : Je t’ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir d’elle. Et il sortit à l’heure même.
Les maîtres de la servante, voyant disparaître l’espoir de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique devant les magistrats.
Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient.
Mais Paul cria d’une voix forte : Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.
Alors le geôlier, ayant demandé de la lumière, entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas
Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.
Et le geôlier annonça la chose à Paul : Les préteurs ont envoyé dire qu’on vous relâchât
Mais Paul dit aux licteurs : Après nous avoir battus de verges publiquement et sans jugement, nous qui sommes Romains, ils nous ont jetés en prison, et maintenant ils nous font sortir secrètement ! Il n’en sera pas ainsi. Qu’ils viennent eux-mêmes nous mettre en liberté.
Paul et Silas passèrent par Amphipolis et Apollonie, et ils arrivèrent à Thessalonique, où les Juifs avaient une synagogue.
Paul y entra, selon sa coutume. Pendant trois sabbats, il discuta avec eux, d’après les Écritures,
Quelques-uns d’entre eux furent persuadés, et se joignirent à Paul et à Silas, ainsi qu’une grande multitude de Grecs craignant Dieu, et beaucoup de femmes de qualité.
Mais les Juifs, jaloux prirent avec eux quelques méchants hommes de la populace, provoquèrent des attroupements, et répandirent l’agitation dans la ville. Ils se portèrent à la maison de Jason, et ils cherchèrent Paul et Silas, pour les amener vers le peuple.
Aussitôt les frères firent partir de nuit Paul et Silas pour Bérée. Lorsqu’ils furent arrivés, ils entrèrent dans la synagogue des Juifs.
Mais, quand les Juifs de Thessalonique surent que Paul annonçait aussi à Bérée la parole de Dieu, ils vinrent y agiter la foule.
Alors les frères firent aussitôt partir Paul du côté de la mer
Ceux qui accompagnaient Paul le conduisirent jusqu’à Athènes. Puis ils s’en retournèrent, chargés de transmettre à Silas et à Timothée l’ordre de le rejoindre au plus tôt.
Comme Paul les attendait à Athènes, il sentait au dedans de lui son esprit s’irriter, à la vue de cette ville pleine d’idoles.
Paul, debout au milieu de l’Aréopage, dit : Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux.
Ainsi Paul se retira du milieu d’eux.
Après cela, Paul partit d’Athènes, et se rendit à Corinthe.
Paul discourait dans la synagogue chaque sabbat, et il persuadait des Juifs et des Grecs.
Les Juifs faisant alors de l’opposition et se livrant à des injures, Paul secoua ses vêtements, et leur dit : Que votre sang retombe sur votre tête ! J’en suis pur. Dès maintenant, j’irai vers les païens.
Cependant Crispus, le chef de la synagogue, crut au Seigneur avec toute sa famille. Et plusieurs Corinthiens, qui avaient entendu Paul, crurent aussi, et furent baptisés.
Le Seigneur dit à Paul en vision pendant la nuit : Ne crains point
Du temps que Gallion était proconsul de l’Achaïe, les Juifs se soulevèrent unanimement contre Paul, et le menèrent devant le tribunal,
Paul allait ouvrir la bouche, lorsque Gallion dit aux Juifs : S’il s’agissait de quelque injustice ou de quelque méchante action, je vous écouterais comme de raison, ô Juifs
Paul resta encore assez longtemps à Corinthe. Ensuite il prit congé des frères, et s’embarqua pour la Syrie, avec Priscille et Aquilas, après s’être fait raser la tête à Cenchrées, car il avait fait un vœu.
Ils arrivèrent à Éphèse, et Paul y laissa ses compagnons. Étant entré dans la synagogue, il s’entretint avec les Juifs,
Lorsqu’il eut passé quelque temps à Antioche, Paul se mit en route, et parcourut successivement la Galatie et la Phrygie, fortifiant tous les disciples.
Pendant qu’Apollos était à Corinthe, Paul, après avoir parcouru les hautes provinces de l’Asie, arriva à Éphèse. Ayant rencontré quelques disciples, il leur dit :
Alors Paul dit : Jean a baptisé du baptême de repentance, disant au peuple de croire en celui qui venait après lui, c’est-à-dire, en Jésus.
Lorsque Paul leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en langues et prophétisaient.
Ensuite Paul entra dans la synagogue, où il parla librement. Pendant trois mois, il discourut sur les choses qui concernent le royaume de Dieu, s’efforçant de persuader ceux qui l’écoutaient.
Et Dieu faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul,
Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d’invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins le nom du Seigneur Jésus, en disant : Je vous conjure par Jésus que Paul prêche !
L’esprit malin leur répondit : Je connais Jésus, et je sais qui est Paul
Après que ces choses se furent passées, Paul forma le projet d’aller à Jérusalem, en traversant la Macédoine et l’Achaïe. Quand j’aurai été là, se disait-il, il faut aussi que je voie Rome.
et vous voyez et entendez que, non seulement à Éphèse, mais dans presque toute l’Asie, ce Paul a persuadé et détourné une foule de gens, en disant que les dieux faits de main d’homme ne sont pas des dieux.
Toute la ville fut dans la confusion. Ils se précipitèrent tous ensemble au théâtre, entraînant avec eux Gaïus et Aristarque, Macédoniens, compagnons de voyage de Paul.
Paul voulait se présenter devant le peuple, mais les disciples l’en empêchèrent
Lorsque le tumulte eut cessé, Paul réunit les disciples, et, après les avoir exhortés, prit congé d’eux, et partit pour aller en Macédoine.
Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s’entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu’à minuit.
Or, un jeune homme nommé Éutychus, qui était assis sur la fenêtre, s’endormit profondément pendant le long discours de Paul
Mais Paul, étant descendu, se pencha sur lui et le prit dans ses bras, en disant : Ne vous troublez pas, car son âme est en lui.
Pour nous, nous précédâmes Paul sur le navire, et nous fîmes voile pour Assos, où nous étions convenus de le reprendre, parce qu’il devait faire la route à pied.
Paul avait résolu de passer devant Éphèse sans s’y arrêter, afin de ne pas perdre de temps en Asie
Cependant, de Milet Paul envoya chercher à Éphèse les anciens de l’Église.
Et tous fondirent en larmes, et, se jetant au cou de Paul,
Nous trouvâmes les disciples, et nous restâmes là sept jours. Les disciples, poussés par l’Esprit, disaient à Paul de ne pas monter à Jérusalem.
et vint nous trouver. Il prit la ceinture de Paul, se lia les pieds et les mains, et dit : Voici ce que déclare le Saint-Esprit : L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le lieront de la même manière à Jérusalem, et le livreront entre les mains des païens.
Quand nous entendîmes cela, nous et ceux de l’endroit, nous priâmes Paul de ne pas monter à Jérusalem.
Le lendemain, Paul se rendit avec nous chez Jacques, et tous les anciens s’y réunirent.
Alors Paul prit ces hommes, se purifia, et entra le lendemain dans le temple avec eux, pour annoncer à quel jour la purification serait accomplie et l’offrande présentée pour chacun d’eux.
Sur la fin des sept jours, les Juifs d’Asie, ayant vu Paul dans le temple, soulevèrent toute la foule, et mirent la main sur lui,
Car ils avaient vu auparavant Trophime d’Éphèse avec lui dans la ville, et ils croyaient que Paul l’avait fait entrer dans le temple.
Toute la ville fut émue, et le peuple accourut de toutes parts. Ils se saisirent de Paul, et le traînèrent hors du temple, dont les portes furent aussitôt fermées.
À l’instant il prit des soldats et des centeniers, et courut à eux. Voyant le tribun et les soldats, ils cessèrent de frapper Paul.
Lorsque Paul fut sur les degrés, il dut être porté par les soldats, à cause de la violence de la foule
Au moment d’être introduit dans la forteresse, Paul dit au tribun : M’est-il permis de te dire quelque chose ? Le tribun répondit : Tu sais le grec ?
Je suis Juif, reprit Paul, de Tarse en Cilicie, citoyen d’une ville qui n’est pas sans importance. Permets-moi, je te prie, de parler au peuple.
Le tribun le lui ayant permis, Paul, debout sur les degrés, fit signe de la main au peuple. Un profond silence s’établit, et Paul, parlant en langue hébraïque, dit :
Lorsqu’ils entendirent qu’il leur parlait en langue hébraïque, ils redoublèrent de silence. Et Paul dit :
Le tribun commanda de faire entrer Paul dans la forteresse, et de lui donner la question par le fouet, afin de savoir pour quel motif ils criaient ainsi contre lui.
Lorsqu’on l’eut exposé au fouet, Paul dit au centenier qui était présent : Vous est-il permis de battre de verges un citoyen romain, qui n’est pas même condamné ?
Et le tribun, étant venu, dit à Paul : Dis-moi, es-tu Romain ? Oui, répondit-il.
Le tribun reprit : C’est avec beaucoup d’argent que j’ai acquis ce droit de citoyen. Et moi, dit Paul, je l’ai par ma naissance.
Aussitôt ceux qui devaient lui donner la question se retirèrent, et le tribun, voyant que Paul était Romain, fut dans la crainte parce qu’il l’avait fait lier.
Paul, les regards fixés sur le sanhédrin, dit : Hommes frères, c’est en toute bonne conscience que je me suis conduit jusqu’à ce jour devant Dieu...
Alors Paul lui dit : Dieu te frappera, muraille blanchie ! Tu es assis pour me juger selon la loi, et tu violes la loi en ordonnant qu’on me frappe !
Et Paul dit : Je ne savais pas, frères, que ce fût le souverain sacrificateur
Paul, sachant qu’une partie de l’assemblée était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens, s’écria dans le sanhédrin : Hommes frères, je suis pharisien, fils de pharisiens
Comme la discorde allait croissant, le tribun craignant que Paul ne fût mis en pièces par ces gens, fit descendre les soldats pour l’enlever du milieu d’eux et le conduire à la forteresse.
La nuit suivante, le Seigneur apparut à Paul, et dit : Prends courage
Quand le jour fut venu, les Juifs formèrent un complot, et firent des imprécations contre eux-mêmes, en disant qu’ils s’abstiendraient de manger et de boire jusqu’à ce qu’ils eussent tué Paul.
et ils allèrent trouver les principaux sacrificateurs et les anciens, auxquels ils dirent : Nous nous sommes engagés, avec des imprécations contre nous-mêmes, à ne rien manger jusqu’à ce que nous ayons tué Paul.
Le fils de la sœur de Paul, ayant eu connaissance du guet-apens, alla dans la forteresse en informer Paul.
Paul appela l’un des centeniers, et dit : Mène ce jeune homme vers le tribun, car il a quelque chose à lui rapporter.
Le centenier prit le jeune homme avec lui, le conduisit vers le tribun, et dit : Le prisonnier Paul m’a appelé, et il m’a prié de t’amener ce jeune homme, qui a quelque chose à te dire.
Il répondit : Les Juifs sont convenus de te prier d’amener Paul demain devant le sanhédrin, comme si tu devais t’enquérir de lui plus exactement.
Qu’il y ait aussi des montures pour Paul, afin qu’on le mène sain et sauf au gouverneur Félix.
Les soldats, selon l’ordre qu’ils avaient reçu, prirent Paul, et le conduisirent pendant la nuit jusqu’à Antipatris.
Arrivés à Césarée, les cavaliers remirent la lettre au gouverneur, et lui présentèrent Paul.
Le gouverneur, après avoir lu la lettre, demanda de quelle province était Paul. Ayant appris qu’il était de la Cilicie :
Cinq jours après, arriva le souverain sacrificateur Ananias, avec des anciens et un orateur nommé Tertulle. Ils portèrent plainte au gouverneur contre Paul.
Paul fut appelé, et Tertulle se mit à l’accuser, en ces termes :
Après que le gouverneur lui eut fait signe de parler, Paul répondit : Sachant que, depuis plusieurs années, tu es juge de cette nation, c’est avec confiance que je prends la parole pour défendre ma cause.
Et il donna l’ordre au centenier de garder Paul, en lui laissant une certaine liberté, et en n’empêchant aucun des siens de lui rendre des services.
Quelques jours après, Félix vint avec Drusille, sa femme, qui était Juive, et il fit appeler Paul. Il l’entendit sur la foi en Christ.
Mais, comme Paul discourait sur la justice, sur la tempérance, et sur le jugement à venir, Félix, effrayé, dit : Pour le moment retire-toi
Il espérait en même temps que Paul lui donnerait de l’argent
Deux ans s’écoulèrent ainsi, et Félix eut pour successeur Porcius Festus. Dans le désir de plaire aux Juifs, Félix laissa Paul en prison.
Les principaux sacrificateurs et les principaux d’entre les Juifs lui portèrent plainte contre Paul. Ils firent des instances auprès de lui, et, dans des vues hostiles,
Festus répondit que Paul était gardé à Césarée, et que lui-même devait partir sous peu.
Festus ne passa que huit à dix jours parmi eux, puis il descendit à Césarée. Le lendemain, s’étant assis sur son tribunal, il donna l’ordre qu’on amenât Paul.
Paul entreprit sa défense, en disant : Je n’ai rien fait de coupable, ni contre la loi des Juifs, ni contre le temple, ni contre César.
Festus, désirant plaire aux Juifs, répondit à Paul : Veux-tu monter à Jérusalem, et y être jugé sur ces choses en ma présence ?
Paul dit : C’est devant le tribunal de César que je comparais, c’est là que je dois être jugé. Je n’ai fait aucun tort aux Juifs, comme tu le sais fort bien.
Comme ils passèrent là plusieurs jours, Festus exposa au roi l’affaire de Paul, et dit : Félix a laissé prisonnier un homme
ils avaient avec lui des discussions relatives à leur religion particulière, et à un certain Jésus qui est mort, et que Paul affirmait être vivant.
Mais Paul en ayant appelé, pour que sa cause fût réservée à la connaissance de l’empereur, j’ai ordonné qu’on le gardât jusqu’à ce que je l’envoyasse à César.
Le lendemain donc, Agrippa et Bérénice vinrent en grande pompe, et entrèrent dans le lieu de l’audience avec les tribuns et les principaux de la ville. Sur l’ordre de Festus, Paul fut amené.
Agrippa dit à Paul : Il t’est permis de parler pour ta défense. Et Paul, ayant étendu la main, se justifia en ces termes :
Comme il parlait ainsi pour sa justification, Festus dit à haute voix : Tu es fou, Paul ! Ton grand savoir te fait déraisonner.
Je ne suis point fou, très excellent Festus, répliqua Paul
Et Agrippa dit à Paul : Tu vas bientôt me persuader de devenir chrétien !
Paul répondit : Que ce soit bientôt ou que ce soit tard, plaise à Dieu que non seulement toi, mais encore tous ceux qui m’écoutent aujourd’hui, vous deveniez tels que je suis, à l’exception de ces liens !
Lorsqu’il fut décidé que nous nous embarquerions pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centenier de la cohorte Auguste, nommé Julius.
C’est pourquoi Paul avertit les autres, en disant : Ô hommes, je vois que la navigation ne se fera pas sans péril et sans beaucoup de dommage, non seulement pour la cargaison et pour le navire, mais encore pour nos personnes.
Le centenier écouta le pilote et le patron du navire plutôt que les paroles de Paul.
On n’avait pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit : Ô hommes, il fallait m’écouter et ne pas partir de Crète, afin d’éviter ce péril et ce dommage.
et m’a dit : Paul, ne crains point
Paul dit au centenier et aux soldats : Si ces hommes ne restent pas dans le navire, vous ne pouvez être sauvés.
Avant que le jour parût, Paul exhorta tout le monde à prendre de la nourriture, disant : C’est aujourd’hui le quatorzième jour que vous êtes dans l’attente et que vous persistez à vous abstenir de manger.
Mais le centenier, qui voulait sauver Paul, les empêcha d’exécuter ce dessein. Il ordonna à ceux qui savaient nager de se jeter les premiers dans l’eau pour gagner la terre,
Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l’ayant mis au feu, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main.
Paul secoua l’animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal.
De Rome vinrent à notre rencontre, jusqu’au Forum d’Appius et aux Trois Tavernes, les frères qui avaient entendu parler de nous. Paul, en les voyant, rendit grâces à Dieu, et prit courage.
Lorsque nous fûmes arrivés à Rome, on permit à Paul de demeurer en son particulier, avec un soldat qui le gardait.
Au bout de trois jours, Paul convoqua les principaux des Juifs
Ils lui fixèrent un jour, et plusieurs vinrent le trouver dans son logis. Paul leur annonça le royaume de Dieu, en rendant témoignage, et en cherchant, par la loi de Moïse et par les prophètes, à les persuader de ce qui concerne Jésus. L’entretien dura depuis le matin jusqu’au soir.
Comme ils se retiraient en désaccord, Paul n’ajouta que ces mots : C’est avec raison que le Saint-Esprit, parlant à vos pères par le prophète Esaïe, a dit :
Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu’il avait louée. Il recevait tous ceux qui venaient le voir,
Paulus aber wart yhe mehr krefftiger, vnd treyb die Juden eyn die zu Damasco woneten, vnd bewerets, das diser ist der Christ.
Barnabas aber vnd Paulus kamen widder gen Jerusalem vnnd vbirantwortten die handreychung, vnnd namen mit sich Johanem, mit dem zu namen Marcus.
Da sie aber dem herrn die neten vnd fasteten, sprach der heylige geyst, Sondert myr aus Barnaban vnd Paulum, zu dem werck, datzu ich sie beruffen habe,
der war bey Sergio Paulo dem Landvogt eynem verstendigen man, der selbige rieff zu sich Barnabam vnd Paulum, vnd begerte das wort Gottis zu horen,
Saulus aber, der auch Paulus heyst, vol heyliges geysts, sahe yn an,
Da aber Paulus vnd die vmb yhn waren von Papho schifften, kamen sie gen Pergen ym land Pamphylien, Johannes aber entweych von yhn vnnd zoch widder gen Jerusalem,
Da stund Paulus auff, vnd winckt mit der hand vnd sprach, Yhr menner von Jsrael, vnd die yhr Got furchtet, horet zu,
Vnnd als die gemeyne der schule von eynander giengen, folgeten Paulo vnnd Barnaba nach, viel Juden vnd Judgenossen die Got dieneten, Sie aber sagten zu yhn, vnd beredeten sie, das sie bleyben sollten ynn der gnade Gottis,
Da aber die Juden das volck sahen, wurden sie voll neyds, vnd widdersprachen dem, das von Paulo gesagt wart, widdersprachen vnd lesterten,
Paulus aber vnd Barnabas wurden freydig vnd sprachen, Es war nodt, das euch zu erst das wort Gottis gesagt wurde, Nu yhrs aber von euch stosset, vnd achtet euch selbs nicht werd des ewigen lebens, sihe, ßo wenden wyr vns zu den heyden,
Aber die Juden bewegten die erbarn vnd andechtigen weyber vnd der stadt vbirsten, vnd erweckten ein verfolgung vber Paulon vnd Barnaban, vnd stiessen sie zu yhren grentzen hynaus,
der horet Paulon reden, vnd als er yhn ansahe, vnd merckt, das er eynen glawben hatte gesund zu werden,
Da aber das volck sahe, was Paulus than hatte, huben sie yhre stym auff, vnd sprachen auff Lycaonisch, die gotter sind den menschen gleych worden vnd zu vns ernydder komen,
vnd nenneten Barnaban, Jupiter, vnd Paulon, Mercurius, die weyl er das wort furet,
Da das die Apostel Paulus vnd Barnabas horeten, zu ryssen sie yhre kleyder vnd sprungen vnter das volck, schryen
Es kamen aber datzu Juden von Antiochien vnd Jconion, vnd vbirredeten das volck, vnd steynigten Paulum, vnd schleyfften yhn zur stad hynaus, meyneten, er were gestorben,
Da sich nu ein auffruhr erhub, vnd Paulus vnd Barnabas sich hart wider sie legten, ordenten sie, das Paulus vnd Barnabas vnd ettlich ander aus yhn, hynauff zogen gen Jerusalem zu den Aposteln vnd Eltisten, vmb diser frage willen,
Da schweyg die gantze menge stille, vnd horeten zu Paulo vnd Barnaba, die da ertzeleten, wie grosse zeychen vnd wunder Gott durch sie than hatte vnter den heyden.
Vnnd es daucht gut die Apostel vnnd Eltisten sampt der gantzen gemeyne, aus yhn menner welen vnnd senden gen Antiochian mitt Paulo vnd Barnaba, nemlich, Judan mit dem zunamen Barsabas, vnd Silan, wilche menner furgenger waren vnter den brudern,
Hatt es vns gut gedaucht eynmutiglich versamlet, menner erwelen, vnd zu euch senden, mit vnsern liebsten Barnaba vnd Paulo,
Paulus aber vnd Barnabas hatten yhr weßen zu Antiochia, lereten vnnd predigeten das Euangelische wortt des herrn mit vielen andern.
Nach ettlichen tagen aber, sprach Paulus zu Barnaban, las vns widderumb ziehen vnd vnsere brudere besehen durch alle stedte, ynn wilchen wyr das wortt des herrn verkundigt haben, wie sie sich halten,
Paulus aber achts billich, das sie nit mit sich nemen eyn solchen, der abtretten war von yhn ynn Pamphylia, vnnd war nit mit yhn zogen zu dem werck,
Paulus aber welet Silan, vnd zog hyn, der gnade Gottis befolhen von den brudern,
disen wollt Paulus lassen mit sich ziehen, vnd nam vnd beschneyt yhn, vmb der Juden willen die an dem selben ortt waren, denn sie wusten alle, das sein vater war eyn Krieche gewesen,
vnd Paulo erscheyn eyn gesicht bey der nacht, das war eyn man von Macedonia, der stund vnd bat yhn vnd sprach, kum ernydder gen Macedonian vnd hilff vns,
Vnnd eyn andechtig weyb mit namen, Lydia, eyn purpurkremeryn aus der stad der Thyatirer, horete zu, wilcher that der herr das hertz auff, das sie drauff acht hatte, was von Paulo geredt ward,
die selbige folgete allenthalben Paulo vnd vns nach, schrey vnd sprach, dise menschen sind knechte Gottis des allerhohisten, die euch den weg der selickeyt verkundigen,
Solchs thatt sie manchen tag, Paulus aber thett das wehe, vnnd wand sich vmb, vnd sprach zu dem geyst, ich gepiete dyr ynn dem namen Jhesu Christi, das du von yhr aus farist, vnnd er fur aus zu der selbigen stund.
Da aber yhre herrn sahen, das die hoffnung yhres genies war außgefaren, namen sie Paulum vnnd Silan, zohen sie auff den marckt fur die vbirsten,
Vmb die mitternacht aber betteten Paulus vnd Silas vnnd lobten Gott, vnd es horeten sie die gefangenen,
Paulus aber rieff laut vnd sprach, Thu dyr nichts vbels denn wyr sind alle hie.
Er foddert aber eyn liecht vnd sprang hynneyn, vnd wart zittern vnd fiel Paulo vnd Barnaba zun fussen
vnd der kercker meyster verkundiget dise rede Paulo, die amptleut haben her gesand, das yhr los seyn solt, Nu zihet aus vnnd gehet hyn mit fride,
Paulus aber sprach zu yhn, Sie haben vns vnuerdampt, offentlich gesteupt, die wyr doch Romische sind, vnd ynn das gefengnis worffen, vnd solten vns nu heymlich aus stossen? Nicht also, sondern last sie selbs komen vnd vns hynaus furen,
Nach dem nu Paulus gewonet war, gieng er zu yhn eyn, vnd saget yhn auff drey Sabbathen von der schrifft,
Vnd etlich vnter yhn fielens yhm zu, vnnd wurden zugesellet Paulo vnnd Sila, auch der andechtigen kriechen eyn grosse menge, datzu der furnehmsten weyber nicht wenig.
Die bruder aber fertigeten also bald ab bey der nacht Paulum vnd Silan gen Berrean, da sie dar kamen, giengen sie ynn die Juden schule,
Als aber die Juden von Thessalonich erfuren, das auch zu Berrean das wortt Got tis von Paulo verkundiget wurde, kamen sie vnd bewegten auch alda das volck,
aber da fertigeten die bruder Paulum also bald ab, das er gieng bis an das meer, Silas aber vnnd Timotheus blieben da,
die aber Paulum geleytten, fureten yhn bis gen Athene, vnd als sie eyn befelh empfiengen an den Silan vnd Thimoteon, das sie auffs schierst zu yhm kemen, zogen sie hyn.
Da aber Paulus yhr zu Athene warttet, ergrymmet seyn geyst ynn yhm, da er sahe die stad, so gar abgottisch,
Aratus. Paulus aber tratt mitten auff den platz, vnnd sprach, yhr menner von Athene, ich sehe euch, das yhr ynn allen stucken altzu aberglewbig seyt,
also gieng Paulus von yhn,
Darnach entweych Paulus von Athene, vnd kam gen Corinthon,
Da aber Silas vnd Timotheus von Macedonia kamen, drang Paulon der geyst zubetzeugen den Juden, Jhesum, das er der Christ sey,
Es sprach aber der Herr durch eyn gesicht ynn der nacht zu Paulo, furcht dich nicht, sondern rede, vnd schweyg nicht,
Da aber Gallion landvogt war ynn Achaia, emporeten sich die Juden eynmutiglich widder Paulum, vnd fureten yhn fur den richtstuel
Da aber Paulus wollt den mund auff thun, sprach Gallion zu den Juden, wenn es eyn freuel odder schalckeyt were, lieben Juden, ßo horet ich euch billich,
Paulus aber nach dem er noch lange blieben war, macht er seyn abscheyd mit den brudern, vnd schiffet ynn Syrian, vnd mit yhm Priscilla vnd Aquila, vnd er beschor seyn hewbt zu Cenchreen, denn er hatte eyn gelubd,
Es geschach aber, da Apollo zu Corinthen war, das Paulus durchwandellt die obern lender, vnnd kam gen Epheso, vnnd fand ettlich iunger,
Paulus aber sprach, Johannes hatt taufft mitt der tauffe der pus, vnnd saget dem volck, das sie sollten glewben an den, der nach yhm komen sollt, das ist, an Jhesum, das der Christus sey,
vnd da Paulus die hend auff sie leget, kam der heylige geyst auff sie, vnd redeten mit zungen vnd weyßsageten,
vnd Gott wirckt nit geringe thatten durch die hende Pauli,
Es vnterwunden sich aber ettlich der vmlauffenden Juden die da beschwerer waren, den namen des herren Jhesu zu nennen vbir die da bose geyster hatten, vnnd sprachen, wyr beschweren euch bey Jhesu, den Paulus prediget,
Aber der boße geyst antwort vnnd sprach, Jhesum kenne ich wol, vnnd Paulum weys ich wol, wer seytt aber yhr?
Da das außgericht war, satzt yhm Paulus fur ym geyst, durch Macedoniam vnd Achaian reyßen vnd gen Jerusalem wandelln, vnnd sprach, Nach dem, wenn ich dasselbs gewesen byn, mus ich auch Rom sehen,
vnd yhr sehet vnnd horet, das nicht alleyn zu Epheso, sondern, auch fast ynn gantz Asia diser Paulus viel volcks abfellig macht, mit seynem vbir reden, vnd spricht, Es sind nicht gotter, wilche von henden gemacht sind,
vnd die gantze stad wart voll getummels, Sie schnurreten aber eynmutiglich auff den schawplatz, vnd ergryffen Gaion vnnd Aristarchon von Macedonia, Pauls geferten,
Da aber Paulus wollt vnter das volck gehen, liesens yhm die iunger nit zu,
Auch ettlich der vbirsten ynn Asia, die Paulus gute freund waren, sandten zu yhm, vnd ermaneten yhn, das er sich nicht gebe auff den schawplatz,
Da nu die emporunge auff horet, rieff Paulus die iunger zu sich, vnd gesegnet sie vnd gieng aus, zu reysen ynn Macedonian,
Auff eynen Sabbath aber, da die iunger zu samen kamen, das brod zu brechen, redet Paulus zu yhn, vnnd wollt des andern tages aus reyßen, vnd vertzoch das wort bis zur mitternacht,
Es saß aber eyn iungling mit namen, Eutychos, ynn eynem fenster, vnd sanck ynn eynen tieffen schlaff, die weyl Paulus redet, vnd ward vom schlaff vbir wogen vnd fiel hyn vntern vom dritten soller, vnd ward todt auffgehaben,
Paulus aber gieng hynab, vnd fiel auff yhn, vmbfieng yhn vnd sprach, macht keyn getummel, denn seyne seel ist ynn yhm,
Wyr aber zogen voran auff dem schiff, vnd furen gen Asson, vnd wollten da selbs Paulum auffnemen, denn er hats alßo befolhen, vnd er wolt zu fusß gehen,
denn Paulus hatte beschlossen fur Epheso vber zu schiffen, das er nicht muste ynn Asia zeytt zu bringen, denn er eylet, auff den pfingstag zu Jerusalem zu seyn, so es yhm muglich were.
Es wart aber viel weynens vnter yhn allen, vnnd fielen Paulo vmb den hals vnnd kusseten yhn,
vnnd als wyr iunger funden, blieben wyr da selbs sieben tage, die sagten Paulo durch den geyst, er sollt nicht hynauff gen Jerusalem zihen,
des andern tags zogen aus, die vmb Paulo waren, vnd kamen gen Cesarean, vnd giengen ynn das haus Philippi des Euangelisten, der eyner von den sieben war, vnd blieben bey yhm,
der nam den gurtel Pauli, vnd band seyne hende vnd fuesß, vnd sprach, das saget der heylige geyst, den man des der gurttel ist, werden die Juden also binden zu Jerusalem, vnd vbirantworten ynn der heyden hende.
Paulus aber antworttet, was macht yhr, das yhr weynet vnd brecht myr meyn hertz? denn ich byn bereyt, nit alleyn mich zu bynden lassen, sondern auch zu sterben zu Jerusalem, vmb des namen willen des herren Jhesu,
Des andern tages aber gieng Paulus eyn zu Jacobo, vnnd kamen die Elltisten alle dar,
Da nam Paulus die menner zu sich, vnd lies sich des andern tages sampt yhn reynigen, vnd gieng ynn den tempel, vnnd verkundiget die erfullung der tage der reynigung, bis das fur eynen iglichen aus yhn das opffer geopffert wart.
denn sie hatten mit yhm ynn der stad Trophimon den Epheser gesehen, denselben meynten sie, Paulus hette yhn ynn den tempel gefuret,
vnd die gantze stad wart bewegt, vnd wart eyn zulaufft des volcks, sie namen Paulum, vnd zogen yhn zum tempel hynaus, vnd als bald wurden die thur zugeschlossen
der nam von stund an die kriegs knecht vnnd hewbtleut zu sich, vnd lieff hyn vnter sie, Da sie aber den hewbtman vnd die kriegsknecht sahen, horeten sie auff Paulon zu schlagen,
Als aber Paulus itzt zum heerlager eyngefurt wart, sprach er zu dem hewptman, thar ich mit dyr reden? Er aber sprach, kanstu kriechisch?
Paulus aber sprach, Jch byn eyn Judischerman von Tarsen, eyn burger eyner namhafftigen stad ynn Cilicia, ich bitt dich, erleube myr zu reden zu dem volck,
Als er aber yhm erlewbt, trat Paulus auff die stuffen, vnd wincket dem volck mit der hand, Da nu eyn grosse stille ward, redet er zu yhn auff hebreisch, sprach vnd saget.
Als er yhn mit rymen anbandt, sprach Paulus zu dem vnterhewptman, der da bey stund, ists auch recht, eynen Romischen menschen vnnd vnuerdampten geysselln?
iah, vnnd der vbirsthewbtman antwort, Jch hab dis burger recht mit grosser summa zuwegen bracht, Paulus aber sprach, Jch aber byn auch Romisch geporn,
Des andern tages, wolt er gewis erkunden, warumb er verklaget wurd von den Juden, vnd loset yhn von den banden, vnd hies die hohen priester vnd yhren gantzen rad komen, vnd furet Paulum erfur, vnd stellet yhn vnter sie.
Paulus aber sahe den rad an, vnd sprach, yhr menner, lieben bruder, Jch habe mit allem guttem gewissen gewandelt fur Gott bis auff disen tag,
Da sprach Paulus zu yhm, Gott wirt dich schlagen, du getunchte wand, sitzistu vnd richtist mich nach dem gesetze, vnd lest mich schlagen widder das gesetz?
vnd Paulus sprach, lieben bruder, ich wustes nicht, das er der hohe priester ist, denn es stehet geschrieben, dem vbirsten deynes volcks soltu nicht fluchen.
Als aber Paulus wuste, das eyn teyl Saduceer war, vnd das ander teyl Phariseer, schrey er ym Rad, yhr menner lieben bruder, ich byn eyn Phariseer, vnd eyn son der phariseer, ich werde gericht, vmb der hoffnung vnd aufferstehung willen der todten,
Da aber der auffruhr gros wart, war dem vbirsten hewbtman leyde, das Paulus von yhn zu rissen wurd, vnd hies das kriegs volck hynab gehen vnd yhn von yhn reyssen, vnd ynn das heerlager furen,
Des andern tags aber ynn der nacht, stund der herr bey yhm, vnnd sprach, sey getrost, Paule, denn wie du von myr zu Jerusalem zeuget hast, also mustu auch zu Rom zeugen.
Da es aber tag wart, schlugen sich etliche Juden zu samen, vnd verbanneten sich, widder zu essen noch zu trincken, bis das sie Paulon todt hetten,
die tratten zu den hohen priestern vnd Eltisten, vnd sprachen, wyr haben vns hart verbannet nichts antzubeyssen, bis wyr Paulon todtet haben,
Da aber Paulus schwesterson den anschlag horet, kam er dar, vnd gieng ynn das heerlager, vnd verkundigets Paulo,
Paulus aber rieff zu sich eynen von den vnterhewbtleutten, vnd sprach, disen Jungling fure hyn zu dem vberhewbtman, denn er hatt yhm etwas zu sagen,
der nam yhn an vnd furet yhn zum vberhawbtman vnd sprach, der gepunden Paulus rieff myr zu sich, vnd bat mich, dißen iungling zu dyr zu furen, der dyr etwas zu sagen habe.
Er aber sprach, Die Juden sind eyns worden, dich zu bitten, das du morgen Paulum fur den Rad bringen lassest, als wollten sie yhn bas verhoren,
Du aber traw yhn nicht, denn es hallten auff yhn mehr denn viertzig menner vnter yhn, die haben sich verbannet, widder zuessen noch zutrincken, bis sie Paulon todten, vnd sind itzt bereyt vnd wartten auff deyn verheyssung.
vnd die thiere richtet zu, das sie Paulon drauff setzen vnd bringen yhn bewart zu Felix dem landpfleger,
Die kriegsknecht, wie yhn befolhen war, namen Paulum vnnd fureten yhn bey der nacht, gen Antipatriden,
Da die gen Cesarian kamen, vbirantworten sie den brieff dem landpfleger, vnd stelleten yhm Paulon auch dar,
Uber funff tag aber zog hynab der hohe priester Ananias mit den Elltisten vnnd mit dem Redener Tertullo, die erschynen fur dem land pfleger widder Paulon,
Paulus aber, da yhm der Landpfleger wincket zu reden, antwortet, Die weyll ich weys, das du ynn dißem volck, nu viel iar eyn richter bist, will ich guttis mutts mich selb verantwortten,
Er befalh aber dem vnterhewbtman Paulon zu behalten, vnd lassen ruge haben, vnd niemand von den seynen weren, yhm zu dienen odder zu yhm zukomen.
Nach ettlichen tagen aber kam Felix mit seynem weybe Drusilla, die eyne Judyn war, vnd foderten Paulon, vnd horeten yhn von dem glawben an Christo,
Da aber Paulus redet von der gerechtickeyt, vnd von der keuscheyt, vnd von dem zukunfftigen gericht, erschrack Felix, vnd antwortet, Es bleybe also dis mal, gang hyn, wenn ich gelegen zeyt hab, will ich dyr her lassen ruffen,
Er hoffet aber da neben, das yhm von Paulo sollt gellt geben werden, das er yhn los gebe, darumb er auch yhn offt foddern lies vnd besprach sich mit yhm,
Da aber zwey iar vmb waren, kam Portius Festus an Felix stad, Felix, aber wollt den Juden eyne wolthat ertzeygen, vnd lies Paulon hynder sich gepunden.
Da erschynen fur yhm die hohen priester vnd die furnehmsten der Juden widder Paulon, vnd ermaneten yhn
Da antwortet Festus, Paulus wurde iah behalten zu Cesarea, aber er wurde ynn kurtz wider dahyn zyhen,
Da er aber vnter yhn mehr denn zehen tage seyn wesen gehabt hatte, zoch er hynab gen Cesarean, vnd des andern tages satzt er sich auff den richtstuel, vnnd hies Paulon holen,
Festus aber wolt den Juden wolthat ertzeygen, vnd antworttet Paulo vnd sprach, wiltu hynauff gen Jerusalem, vnd do selbs vber disem dich fur mir richten lassen?
Paulus aber sprach, Jch stehe fur des keysers gericht, da soll ich mich lassen richten, den Juden hab ich keyn leyd than, wie auch du auffs best weyssist,
vnd da sie viel tage dasselbs yhr wesen hatten, legt Festus dem konig den handel von Paulo fur vnd sprach, Es ist eyn man von Felix hynder gelassen gepunden,
sie hatten aber ettlich fragen wider yhn, von yhrem aberglawben, vnnd von eynem verstorbenen Jhesu, wilchen Paulus sagete er lebete,
Da aber Paulus sich berieff, das er auffs Keysers erkentnis behalten wurd, hies ich yhn behalten, bis das ich yhn zum keyser sende.
Vnd am andern tage, da Agrippas vnd Bernice kam mit grossem geprenge, vnd giengen ynn das richthaus mit den vberhewptleutten vnnd furnemisten mennern der stad, vnd da es Festus hies, ward Paulus bracht,
Agrippas aber sprach zu Paulo, Es ist dyr erleubt fur dich zureden, Da verantwortet sich Paulus vnd reckt die hand aus,
Da er aber solchs zur verantwortung gab, sprach Festus mit lauter stym, Paule du rasest, die grosse kunst macht dich rasen,
Agrippas aber sprach zu Paulo, Es feylt nicht viel, du vbirredtist mich, das ich eyn Christen wurde,
Paulus aber sprach, ich wunschet fur Gott, es feylet an viel oder an wenig, das nicht alleyne du, sondern alle, die mich heute horen, solche wurden, wie ich byn, außgenommen dise band,
Da es aber beschlossen war, das wyr ynn wellsch land schiffen sollten, vbirgaben sie Paulon vnnd ettliche andere gefangene, dem vnterhewbtman, mit namen Julio von der Keyserschen rotte,
vnd kamen des andern tages hynab gen Sidon, vnd Julios hielt sich freuntlich gegen Paulon, erleubt yhm zu seynen gutten freunden zu gehen, vnnd seyner pflegen,
Da nu viel zeyt vergangen war, vnnd nu mehr ferlich war zu schiffen, darumb, das auch die fasten schon fur vber war, vermanet sie Paulus
Aber der vnterhewbtman glewbt dem schiffhern vnd dem schiffman mehr, denn dem, das von Paulo gesagt wart,
Vnnd da man lange nicht geessen hatte, trat Paulus yns mittel vnd sprach, Lieben menner, man sollt myr gehorcht, vnnd nicht von Candian auffgebrochen haben, vnnd vns dises leydes vnnd schadens ersparet haben,
vnd sprach, furcht dich nicht Paule, du must fur den Keyser gestellet werden, vnnd sihe, Gott hat dyr geschenckt alle die mit dyr schyffen,
sprach Paulus zu dem vnterhewbtman vnnd zu den kriegs knechten, wenn dise nicht ym schiff bleyben, so kund yhr nicht behalten werden,
Vnd da es anfieng liecht zu werden, ermanet sie Paulus alle, das sie speyse nemen vnd sprach, Es ist heutt der viertzehende tag, das yhr warttet vnd vngessen blieben seyt vnd habt nichts zu euch genommen,
Aber der vnterhewbtman wollt Paulon erhallten, vnd weret yhrem rad, vnd hies die da schwymmen kunden, sich zu erst ynn das meer lassen vnd entgehen an das land,
Da aber Paulus eyn hauffen reyser zu samen raffellt, vnd legt es auffs fewr, kam eyn otter von der hitze, vnd fur Paulo an seyne hand,
Es geschach aber, da der vater Publij am fiber vnnd an der rhure lag, zu dem gieng Paulus hyneyn, vnnd betet, vnd leget die hand auff yhn, vnnd machet yhn gesund,
Vnd von dannen, da die bruder von vns horeten, giengen sie aus vns entgegen bis gen Appifer vnd Tretabern, Da die Paulus sahe, danckt er Gott, vnd gewan eyne zuuorsicht,
Da wyr aber gen Rom kamen, vbirantworttet der vnterhewbtman die gefangnen dem vbirsten hewbtman, Aber Paulo ward erleubt fur sich selber zu bleyben, mit eynem kriegs knecht, der seyn huttet,
Es geschach aber nach dreyen tagen, das Paulus zu samen rieff die furnehmisten der Juden, da die selben zu samen kamen, sprach er zu yhn, yhr menner, lieben bruder, ich habe nichts gethan widder vnser volck noch widder vetterliche sitten, vnd byn doch gepunden aus Jerusalem vbergeben ynn der Romer hende,
Da sie aber vnternander mißhellig waren, giengen sie weg, als Paulus eyn wortt redet, Das woll der heylig geyst gesagt hat durch den propheten Esaian zu vnsern vetern
Paulus aber bleyb zwey iar, ynn seynem eygen gedinge, vnd nam auff alle die zu yhm eynkamen,
who was with the proconsul, Sergius Paulus, a man of understanding. This man summoned Barnabas and Saul, and sought to hear the word of God.
But Saul, who is also called Paul, filled with the Holy Spirit, fastened his eyes on him,
Now Paul and his company set sail from Paphos, and came to Perga in Pamphylia. John departed from them and returned to Jerusalem.
Paul stood up, and beckoning with his hand said, “Men of Israel, and you who fear God, listen.
Now when the synagogue broke up, many of the Jews and of the devout proselytes followed Paul and Barnabas
But when the Jews saw the multitudes, they were filled with jealousy, and contradicted the things which were spoken by Paul, and blasphemed.
Paul and Barnabas spoke out boldly, and said, “It was necessary that God’s word should be spoken to you first. Since indeed you thrust it from you, and judge yourselves unworthy of eternal life, behold, we turn to the Gentiles.
But the Jews stirred up the devout and prominent women and the chief men of the city, and stirred up a persecution against Paul and Barnabas, and threw them out of their borders.
He was listening to Paul speaking, who, fastening eyes on him, and seeing that he had faith to be made whole,
When the multitude saw what Paul had done, they lifted up their voice, saying in the language of Lycaonia, “The gods have come down to us in the likeness of men!”
They called Barnabas “Jupiter,” and Paul “Mercury,” because he was the chief speaker.
But when the apostles, Barnabas and Paul, heard of it, they tore their clothes, and sprang into the multitude, crying out,
But some Jews from Antioch and Iconium came there, and having persuaded the multitudes, they stoned Paul, and dragged him out of the city, supposing that he was dead.
Therefore when Paul and Barnabas had no small discord and discussion with them, they appointed Paul and Barnabas, and some others of them, to go up to Jerusalem to the apostles and elders about this question.
All the multitude kept silence, and they listened to Barnabas and Paul reporting what signs and wonders God had done among the nations through them.
Then it seemed good to the apostles and the elders, with the whole assembly, to choose men out of their company, and send them to Antioch with Paul and Barnabas: Judas called Barsabbas, and Silas, chief men among the brothers.
it seemed good to us, having come to one accord, to choose out men and send them to you with our beloved Barnabas and Paul,
But Paul and Barnabas stayed in Antioch, teaching and preaching the word of the Lord, with many others also.
After some days Paul said to Barnabas, “Let’s return now and visit our brothers in every city in which we proclaimed the word of the Lord, to see how they are doing.”
But Paul didn’t think that it was a good idea to take with them someone who had withdrawn from them in Pamphylia, and didn’t go with them to do the work.
but Paul chose Silas, and went out, being commended by the brothers to the grace of God.
Paul wanted to have him go out with him, and he took and circumcised him because of the Jews who were in those parts
A vision appeared to Paul in the night. There was a man of Macedonia standing, begging him, and saying, “Come over into Macedonia and help us.”
Following Paul and us, she cried out, “These men are servants of the Most High God, who proclaim to us a way of salvation!”
She was doing this for many days. But Paul, becoming greatly annoyed, turned and said to the spirit, “I command you in the name of Jesus Christ to come out of her!” It came out that very hour.
But when her masters saw that the hope of their gain was gone, they seized Paul and Silas, and dragged them into the marketplace before the rulers.
But about midnight Paul and Silas were praying and singing hymns to God, and the prisoners were listening to them.
But Paul cried with a loud voice, saying, “Don’t harm yourself, for we are all here!”
He called for lights and sprang in, and, fell down trembling before Paul and Silas,
The jailer reported these words to Paul, saying, “The magistrates have sent to let you go
But Paul said to them, “They have beaten us publicly, without a trial, men who are Romans, and have cast us into prison! Do they now release us secretly? No, most certainly, but let them come themselves and bring us out!”
Paul, as was his custom, went in to them, and for three Sabbath days reasoned with them from the Scriptures,
Some of them were persuaded, and joined Paul and Silas, of the devout Greeks a great multitude, and not a few of the chief women.
The brothers immediately sent Paul and Silas away by night to Beroea. When they arrived, they went into the Jewish synagogue.
But when the Jews of Thessalonica had knowledge that the word of God was proclaimed by Paul at Beroea also, they came there likewise, agitating the multitudes.
Then the brothers immediately sent out Paul to go as far as to the sea, and Silas and Timothy still stayed there.
But those who escorted Paul brought him as far as Athens. Receiving a commandment to Silas and Timothy that they should come to him very quickly, they departed.
Now while Paul waited for them at Athens, his spirit was provoked within him as he saw the city full of idols.
Paul stood in the middle of the Areopagus, and said, “You men of Athens, I perceive that you are very religious in all things.
Thus Paul went out from among them.
After these things Paul departed from Athens, and came to Corinth.
But when Silas and Timothy came down from Macedonia, Paul was compelled by the Spirit, testifying to the Jews that Jesus was the Christ.
The Lord said to Paul in the night by a vision, “Don’t be afraid, but speak and don’t be silent
But when Gallio was proconsul of Achaia, the Jews with one accord rose up against Paul and brought him before the judgment seat,
But when Paul was about to open his mouth, Gallio said to the Jews, “If indeed it were a matter of wrong or of wicked crime, you Jews, it would be reasonable that I should bear with you
Paul, having stayed after this many more days, took his leave of the brothers, and sailed from there for Syria, together with Priscilla and Aquila. He shaved his head in Cenchreae, for he had a vow.
It happened that, while Apollos was at Corinth, Paul, having passed through the upper country, came to Ephesus, and found certain disciples.
Paul said, “John indeed baptized with the baptism of repentance, saying to the people that they should believe in the one who would come after him, that is, in Jesus.”
When Paul had laid his hands on them, the Holy Spirit came on them, and they spoke with other languages and prophesied.
God worked special miracles by the hands of Paul,
But some of the itinerant Jews, exorcists, took on themselves to invoke over those who had the evil spirits the name of the Lord Jesus, saying, “We adjure you by Jesus whom Paul preaches.”
The evil spirit answered, “Jesus I know, and Paul I know, but who are you?”
Now after these things had ended, Paul determined in the spirit, when he had passed through Macedonia and Achaia, to go to Jerusalem, saying, “After I have been there, I must also see Rome.”
You see and hear, that not at Ephesus alone, but almost throughout all Asia, this Paul has persuaded and turned away many people, saying that they are no gods, that are made with hands.
The whole city was filled with confusion, and they rushed with one accord into the theater, having seized Gaius and Aristarchus, men of Macedonia, Paul’s companions in travel.
When Paul wanted to enter in to the people, the disciples didn’t allow him.
After the uproar had ceased, Paul sent for the disciples, took leave of them, and departed to go into Macedonia.
On the first day of the week, when the disciples were gathered together to break bread, Paul talked with them, intending to depart on the next day, and continued his speech until midnight.
A certain young man named Eutychus sat in the window, weighed down with deep sleep. As Paul spoke still longer, being weighed down by his sleep, he fell down from the third story, and was taken up dead.
Paul went down, and fell upon him, and embracing him said, “Don’t be troubled, for his life is in him.”
But we who went ahead to the ship set sail for Assos, intending to take Paul aboard there, for he had so arranged, intending himself to go by land.
For Paul had determined to sail past Ephesus, that he might not have to spend time in Asia
They all wept a lot, and fell on Paul’s neck and kissed him,
Having found disciples, we stayed there seven days. These said to Paul through the Spirit, that he should not go up to Jerusalem.
On the next day, we, who were Paul’s companions, departed, and came to Caesarea. We entered into the house of Philip the evangelist, who was one of the seven, and stayed with him.
Coming to us, and taking Paul’s belt, he bound his own feet and hands, and said, “Thus says the Holy Spirit: ‘So will the Jews at Jerusalem bind the man who owns this belt, and will deliver him into the hands of the Gentiles.’”
Then Paul answered, “What are you doing, weeping and breaking my heart? For I am ready not only to be bound, but also to die at Jerusalem for the name of the Lord Jesus.”
The day following, Paul went in with us to James
Then Paul took the men, and the next day, purified himself and went with them into the temple, declaring the fulfillment of the days of purification, until the offering was offered for every one of them.
For they had seen Trophimus, the Ephesian, with him in the city, and they supposed that Paul had brought him into the temple.
All the city was moved, and the people ran together. They seized Paul and dragged him out of the temple. Immediately the doors were shut.
Immediately he took soldiers and centurions, and ran down to them. They, when they saw the chief captain and the soldiers, stopped beating Paul.
As Paul was about to be brought into the barracks, he asked the commanding officer, “May I speak to you?”. He said, “Do you know Greek?
But Paul said, “I am a Jew, from Tarsus in Cilicia, a citizen of no insignificant city. I beg you, allow me to speak to the people.”
When he had given him permission, Paul, standing on the stairs, beckoned with his hand to the people. When there was a great silence, he spoke to them in the Hebrew language, saying,
When they had tied him up with thongs, Paul asked the centurion who stood by, “Is it lawful for you to scourge a man who is a Roman, and not found guilty?”
The commanding officer answered, “I bought my citizenship for a great price.” Paul said, “But I was born a Roman.”
But on the next day, desiring to know the truth about why he was accused by the Jews, he freed him from the bonds, and commanded the chief priests and all the council to come together, and brought Paul down and set him before them.
Paul, looking steadfastly at the council, said, “Brothers, I have lived before God in all good conscience until this day.”
Then Paul said to him, “God will strike you, you whitewashed wall! Do you sit to judge me according to the law, and command me to be struck contrary to the law?”
Paul said, “I didn’t know, brothers, that he was high priest. For it is written, ‘You shall not speak evil of a ruler of your people.’”
But when Paul perceived that the one part were Sadducees and the other Pharisees, he cried out in the council, “Men and brothers, I am a Pharisee, a son of Pharisees. Concerning the hope and resurrection of the dead I am being judged!”
When a great argument arose, the commanding officer, fearing that Paul would be torn in pieces by them, commanded the soldiers to go down and take him by force from among them, and bring him into the barracks.
The following night, the Lord stood by him, and said, “Cheer up, Paul, for as you have testified about me at Jerusalem, so you must testify also at Rome.”
When it was day, some of the Jews banded together, and bound themselves under a curse, saying that they would neither eat nor drink until they had killed Paul.
They came to the chief priests and the elders, and said, “We have bound ourselves under a great curse, to taste nothing until we have killed Paul.
But Paul’s sister’s son heard of their lying in wait, and he came and entered into the barracks and told Paul.
Paul summoned one of the centurions, and said, “Bring this young man to the commanding officer, for he has something to tell him.”
So he took him, and brought him to the commanding officer, and said, “Paul, the prisoner, summoned me and asked me to bring this young man to you, who has something to tell you.”
He said, “The Jews have agreed to ask you to bring Paul down to the council tomorrow, as though intending to inquire somewhat more accurately concerning him.
He asked them to provide animals, that they might set Paul on one, and bring him safely to Felix the governor.
So the soldiers, carrying out their orders, took Paul and brought him by night to Antipatris.
When they came to Caesarea and delivered the letter to the governor, they also presented Paul to him.
After five days, the high priest, Ananias, came down with certain elders and an orator, one Tertullus. They informed the governor against Paul.
When the governor had beckoned to him to speak, Paul answered, “Because I know that you have been a judge of this nation for many years, I cheerfully make my defense,
He ordered the centurion that Paul should be kept in custody, and should have some privileges, and not to forbid any of his friends to serve him or to visit him.
But after some days, Felix came with Drusilla, his wife, who was a Jewess, and sent for Paul, and heard him concerning the faith in Christ Jesus.
Meanwhile, he also hoped that money would be given to him by Paul, that he might release him. Therefore also he sent for him more often, and talked with him.
But when two years were fulfilled, Felix was succeeded by Porcius Festus, and desiring to gain favor with the Jews, Felix left Paul in bonds.
Then the high priest and the principal men of the Jews informed him against Paul, and they begged him,
However Festus answered that Paul should be kept in custody at Caesarea, and that he himself was about to depart shortly.
When he had stayed among them more than ten days, he went down to Caesarea, and on the next day he sat on the judgment seat, and commanded Paul to be brought.
But Festus, desiring to gain favor with the Jews, answered Paul and said, “Are you willing to go up to Jerusalem, and be judged by me there concerning these things?”
But Paul said, “I am standing before Caesar’s judgment seat, where I ought to be tried. I have done no wrong to the Jews, as you also know very well.
As he stayed there many days, Festus laid Paul’s case before the king, saying, “There is a certain man left a prisoner by Felix
but had certain questions against him about their own religion, and about one Jesus, who was dead, whom Paul affirmed to be alive.
But when Paul had appealed to be kept for the decision of the emperor, I commanded him to be kept until I could send him to Caesar.”
So on the next day, when Agrippa and Bernice had come with great pomp, and they had entered into the place of hearing with the commanding officers and principal men of the city, at the command of Festus, Paul was brought in.
Agrippa said to Paul, “You may speak for yourself.” Then Paul stretched out his hand, and made his defense.
As he thus made his defense, Festus said with a loud voice, “Paul, you are crazy! Your great learning is driving you insane!”
Agrippa said to Paul, “With a little persuasion are you trying to make me a Christian?”
Paul said, “I pray to God, that whether with little or with much, not only you, but also all that hear me this day, might become such as I am, except for these bonds.”
When it was determined that we should sail for Italy, they delivered Paul and certain other prisoners to a centurion named Julius, of the Augustan band.
The next day, we touched at Sidon. Julius treated Paul kindly, and gave him permission to go to his friends and refresh himself.
When much time had passed and the voyage was now dangerous, because the Fast had now already gone by, Paul admonished them,
But the centurion gave more heed to the master and to the owner of the ship than to those things which were spoken by Paul.
When they had been long without food, Paul stood up in the middle of them, and said, “Sirs, you should have listened to me, and not have set sail from Crete, and have gotten this injury and loss.
saying, ‘Don’t be afraid, Paul. You must stand before Caesar. Behold, God has granted you all those who sail with you.’
Paul said to the centurion and to the soldiers, “Unless these stay in the ship, you can’t be saved.”
While the day was coming on, Paul begged them all to take some food, saying, “This day is the fourteenth day that you wait and continue fasting, having taken nothing.
But the centurion, desiring to save Paul, stopped them from their purpose, and commanded that those who could swim should throw themselves overboard first to go toward the land
But when Paul had gathered a bundle of sticks and laid them on the fire, a viper came out because of the heat, and fastened on his hand.
It happened that the father of Publius lay sick of fever and dysentery. Paul entered in to him, prayed, and laying his hands on him, healed him.
From there the brothers, when they heard of us, came to meet us as far as The Market of Appius and The Three Taverns. When Paul saw them, he thanked God, and took courage.
When we entered into Rome, the centurion delivered the prisoners to the captain of the guard, but Paul was allowed to stay by himself with the soldier who guarded him.
It happened that after three days Paul called together those who were the leaders of the Jews. When they had come together, he said to them, “I, brothers, though I had done nothing against the people, or the customs of our fathers, still was delivered prisoner from Jerusalem into the hands of the Romans,
When they didn’t agree among themselves, they departed after Paul had spoken one word, “The Holy Spirit spoke rightly through Isaiah, the prophet, to our fathers,
Paul stayed two whole years in his own rented house, and received all who were coming to him,
O qual estava com o procônsul Sérgio Paulo, homem prudente. Este, chamando a si Barnabé e Saulo, procurava muito ouvir a palavra de Deus.
Todavia Saulo, que também se chama Paulo, cheio do Espírito Santo, e fixando os olhos nele,
E, partindo de Pafos, Paulo e os que estavam com ele chegaram a Perge, da Panfília. Mas João, apartando-se deles, voltou para Jerusalém.
E, levantando-se Paulo, e pedindo silêncio com a mão, disse: Homens israelitas, e os que temeis a Deus, ouvi:
E, despedida a sinagoga, muitos dos judeus e dos prosélitos religiosos seguiram Paulo e Barnabé
Então os judeus, vendo a multidão, encheram-se de inveja e, blasfemando, contradiziam o que Paulo falava.
Mas Paulo e Barnabé, usando de ousadia, disseram: Era mister que a vós se vos pregasse primeiro a palavra de Deus
Mas os judeus incitaram algumas mulheres religiosas e honestas, e os principais da cidade, e levantaram perseguição contra Paulo e Barnabé, e os lançaram fora dos seus termos.
Este ouviu falar Paulo, que, fixando nele os olhos, e vendo que tinha fé para ser curado,
E as multidões, vendo o que Paulo fizera, levantaram a sua voz, dizendo em língua licaónica: Fizeram-se os deuses semelhantes aos homens, e desceram até nós.
E chamavam Júpiter a Barnabé, e Mercúrio a Paulo
Ouvindo, porém, isto os apóstolos Barnabé e Paulo, rasgaram as suas vestes, e saltaram para o meio da multidão, clamando,
Sobrevieram, porém, uns judeus de Antioquia e de Icônio que, tendo convencido a multidão, apedrejaram a Paulo e o arrastaram para fora da cidade, cuidando que estava morto.
Tendo tido Paulo e Barnabé não pequena discussão e contenda contra eles, resolveu-se que Paulo e Barnabé, e alguns dentre eles, subissem a Jerusalém, aos apóstolos e aos anciãos, sobre aquela questão.
Então toda a multidão se calou e escutava a Barnabé e a Paulo, que contavam quão grandes sinais e prodígios Deus havia feito por meio deles entre os gentios.
Então pareceu bem aos apóstolos e aos anciãos, com toda a igreja, eleger homens dentre eles e enviá-los com Paulo e Barnabé a Antioquia, a saber: Judas, chamado Barsabás, e Silas, homens distintos entre os irmãos.
Pareceu-nos bem, reunidos concordemente, eleger alguns homens e enviá-los com os nossos amados Barnabé e Paulo,
E Paulo e Barnabé ficaram em Antioquia, ensinando e pregando, com muitos outros, a palavra do Senhor.
E alguns dias depois, disse Paulo a Barnabé: Tornemos a visitar nossos irmãos por todas as cidades em que já anunciamos a palavra do Senhor, para ver como estão.
Mas a Paulo parecia razoável que não tomassem consigo aquele que desde a Panfília se tinha apartado deles e não os acompanhou naquela obra.
E Paulo, tendo escolhido a Silas, partiu, encomendado pelos irmãos à graça de Deus.
Paulo quis que este fosse com ele
E Paulo teve de noite uma visão, em que se apresentou um homem da Macedónia, e lhe rogou, dizendo: Passa à Macedônia, e ajuda-nos.
E uma certa mulher, chamada Lídia, vendedora de púrpura, da cidade de Tiatira, e que servia a Deus, nos ouvia, e o Senhor lhe abriu o coração para que estivesse atenta ao que Paulo dizia.
Esta, seguindo a Paulo e a nós, clamava, dizendo: Estes homens, que nos anunciam o caminho da salvação, são servos do Deus Altíssimo.
E isto fez ela por muitos dias. Mas Paulo, perturbado, voltou-se e disse ao espírito: Em nome de Jesus Cristo, te mando que saias dela. E na mesma hora saiu.
E, vendo seus senhores que a esperança do seu lucro estava perdida, prenderam Paulo e Silas, e os levaram à praça, à presença dos magistrados.
E, perto da meia-noite, Paulo e Silas oravam e cantavam hinos a Deus, e os outros presos os escutavam.
Mas Paulo clamou com grande voz, dizendo: Não te faças nenhum mal, que todos aqui estamos.
E, pedindo luz, saltou dentro e, todo trêmulo, se prostrou ante Paulo e Silas.
E o carcereiro anunciou a Paulo estas palavras, dizendo: Os magistrados mandaram que vos soltasse
Mas Paulo replicou: Açoitaram-nos publicamente e, sem sermos condenados, sendo homens romanos, nos lançaram na prisão, e agora encobertamente nos lançam fora? Não será assim
E Paulo, como tinha por costume, foi ter com eles
E alguns deles creram, e ajuntaram-se com Paulo e Silas
E logo os irmãos enviaram de noite Paulo e Silas a Beréia
Mas, logo que os judeus de Tessalônica souberam que a palavra de Deus também era anunciada por Paulo em Beréia, foram lá, e excitaram as multidões.
No mesmo instante os irmãos mandaram a Paulo que fosse até ao mar, mas Silas e Timóteo ficaram ali.
E os que acompanhavam Paulo o levaram até Atenas, e, recebendo ordem para que Silas e Timóteo fossem ter com ele o mais depressa possível, partiram.
E, enquanto Paulo os esperava em Atenas, o seu espírito se comovia em si mesmo, vendo a cidade tão entregue à idolatria.
E, estando Paulo no meio do Areópago, disse: Homens atenienses, em tudo vos vejo um tanto supersticiosos
E assim Paulo saiu do meio deles.
E depois disto partiu Paulo de Atenas, e chegou a Corinto.
E, quando Silas e Timóteo desceram da Macedônia, foi Paulo impulsionado no espírito, testificando aos judeus que Jesus era o Cristo.
E disse o Senhor em visão a Paulo: Não temas, mas fala, e não te cales
Mas, sendo Gálio procônsul da Acaia, levantaram-se os judeus concordemente contra Paulo, e o levaram ao tribunal,
E, querendo Paulo abrir a boca, disse Gálio aos judeus: Se houvesse, ó judeus, algum agravo ou crime enorme, com razão vos sofreria,
E Paulo, ficando ainda ali muitos dias, despediu-se dos irmãos, e dali navegou para a Síria, e com ele Priscila e Áqüila, tendo rapado a cabeça em Cencréia, porque tinha voto.
E sucedeu que, enquanto Apolo estava em Corinto, Paulo, tendo passado por todas as regiões superiores, chegou a Éfeso
Mas Paulo disse: Certamente João batizou com o batismo do arrependimento, dizendo ao povo que cresse no que após ele havia de vir, isto é, em Jesus Cristo.
E, impondo-lhes Paulo as mãos, veio sobre eles o Espírito Santo
E Deus pelas mãos de Paulo fazia maravilhas extraordinárias.
E alguns dos exorcistas judeus ambulantes tentavam invocar o nome do Senhor Jesus sobre os que tinham espíritos malignos, dizendo: Esconjuro-vos por Jesus a quem Paulo prega.
Respondendo, porém, o espírito maligno, disse: Conheço a Jesus, e bem sei quem é Paulo
E, cumpridas estas coisas, Paulo propôs, em espírito, ir a Jerusalém, passando pela Macedônia e pela Acaia, dizendo: Depois que houver estado ali, importa-me ver também Roma.
E bem vedes e ouvis que não só em Éfeso, mas até quase em toda a Ásia, este Paulo tem convencido e afastado uma grande multidão, dizendo que não são deuses os que se fazem com as mãos.
E encheu-se de confusão toda a cidade e, unânimes, correram ao teatro, arrebatando a Gaio e a Aristarco, macedônios, companheiros de Paulo na viagem.
E, querendo Paulo apresentar-se ao povo, não lho permitiram os discípulos.
E, depois que cessou o alvoroço, Paulo chamou a si os discípulos e, abraçando-os, saiu para a macedônia.
E no primeiro dia da semana, ajuntando-se os discípulos para partir o pão, Paulo, que havia de partir no dia seguinte, falava com eles
E, estando um certo jovem, por nome Êutico, assentado numa janela, caiu do terceiro andar, tomado de um sono profundo que lhe sobreveio durante o extenso discurso de Paulo
Paulo, porém, descendo, inclinou-se sobre ele e, abraçando-o, disse: Não vos perturbeis, que a sua alma nele está.
Nós, porém, subindo ao navio, navegamos até Assós, onde devíamos receber a Paulo, porque assim o ordenara, indo ele por terra.
Porque já Paulo tinha determinado passar ao largo de Éfeso, para não gastar tempo na Ásia. Apressava-se, pois, para estar, se lhe fosse possível, em Jerusalém no dia de Pentecostes.
E levantou-se um grande pranto entre todos e, lançando-se ao pescoço de Paulo, o beijavam,
E no dia seguinte, partindo dali Paulo, e nós que com ele estávamos, chegamos a Cesaréia
E, vindo ter conosco, tomou a cinta de Paulo, e ligando-se os seus próprios pés e mãos, disse: Isto diz o Espírito Santo: Assim ligarão os judeus em Jerusalém o homem de quem é esta cinta, e o entregarão nas mãos dos gentios.
Mas Paulo respondeu: Que fazeis vós, chorando e magoando-me o coração? Porque eu estou pronto não só a ser ligado, mas ainda a morrer em Jerusalém pelo nome do Senhor Jesus.
E no dia seguinte, Paulo entrou conosco em casa de Tiago, e todos os anciãos vieram ali.
Então Paulo, tomando consigo aqueles homens, entrou no dia seguinte no templo, já santificado com eles, anunciando serem já cumpridos os dias da purificação
Porque tinham visto com ele na cidade a Trófimo de Éfeso, o qual pensavam que Paulo introduzira no templo.
O qual, tomando logo consigo soldados e centuriões, correu para eles. E, quando viram o tribuno e os soldados, cessaram de ferir a Paulo.
E, quando iam a introduzir Paulo na fortaleza, disse Paulo ao tribuno: É-me permitido dizer-te alguma coisa? E ele disse: Sabes o grego?
Mas Paulo lhe disse: Na verdade que sou um homem judeu, cidadão de Tarso, cidade não pouco célebre na Cilícia
E, havendo-lho permitido, Paulo, pondo-se em pé nas escadas, fez sinal com a mão ao povo
E, quando o estavam atando com correias, disse Paulo ao centurião que ali estava: É-vos lícito açoitar um romano, sem ser condenado?
E respondeu o tribuno: Eu com grande soma de dinheiro alcancei este direito de cidadão. Paulo disse: Mas eu o sou de nascimento.
E, pondo Paulo os olhos no conselho, disse: Homens irmãos, até ao dia de hoje tenho andado diante de Deus com toda a boa consciência.
Então Paulo lhe disse: Deus te ferirá, parede branqueada
E Paulo disse: Não sabia, irmãos, que era o sumo sacerdote
E Paulo, sabendo que uma parte era de saduceus e outra de fariseus, clamou no conselho: Homens irmãos, eu sou fariseu, filho de fariseu
E, havendo grande dissensão, o tribuno, temendo que Paulo fosse despedaçado por eles, mandou descer a soldadesca, para que o tirassem do meio deles, e o levassem para a fortaleza.
E na noite seguinte, apresentando-se-lhe o Senhor, disse: Paulo, tem ânimo
E, quando já era dia, alguns dos judeus fizeram uma conspiração, e juraram, dizendo que não comeriam nem beberiam enquanto não matassem a Paulo.
E estes foram ter com os principais dos sacerdotes e anciãos, e disseram: Conjuramo-nos, sob pena de maldição, a nada provarmos até que matemos a Paulo.
E o filho da irmã de Paulo, tendo ouvido acerca desta cilada, foi, e entrou na fortaleza, e o anunciou a Paulo.
E Paulo, chamando a si um dos centuriões, disse: Leva este jovem ao tribuno, porque tem alguma coisa que lhe comunicar.
Tomando-o ele, pois, o levou ao tribuno, e disse: O preso Paulo, chamando-me a si, rogou-me que trouxesse este jovem, que tem alguma coisa para dizer-te.
E disse ele: Os judeus se concertaram rogar-te que amanhã leves Paulo ao conselho, como que tendo de inquirir dele mais alguma coisa ao certo.
E aparelhai cavalgaduras, para que, pondo nelas a Paulo, o levem salvo ao presidente Félix.
Tomando, pois, os soldados a Paulo, como lhe fora mandado, o trouxeram de noite a Antipátride.
Os quais, logo que chegaram a Cesaréia, e entregaram a carta ao presidente, lhe apresentaram Paulo.
E, cinco dias depois, o sumo sacerdote Ananias desceu com os anciãos, e um certo Tértulo, orador, os quais compareceram perante o presidente contra Paulo.
Paulo, porém, fazendo-lhe o presidente sinal que falasse, respondeu: Porque sei que já vai para muitos anos que desta nação és juiz, com tanto melhor ânimo respondo por mim.
E alguns dias depois, vindo Félix com sua mulher Drusila, que era judia, mandou chamar a Paulo, e ouviu-o acerca da fé em Cristo.
Esperando ao mesmo tempo que Paulo lhe desse dinheiro, para que o soltasse
E o sumo sacerdote e os principais dos judeus compareceram perante ele contra Paulo, e lhe rogaram,
Mas Festo respondeu que Paulo estava guardado em Cesaréia, e que ele brevemente partiria para lá.
E, chegando ele, rodearam-no os judeus que haviam descido de Jerusalém, trazendo contra Paulo muitas e graves acusações, que não podiam provar.
Todavia Festo, querendo comprazer aos judeus, respondendo a Paulo, disse: Queres tu subir a Jerusalém, e ser lá perante mim julgado acerca destas coisas?
Mas Paulo disse: Estou perante o tribunal de César, onde convém que seja julgado
E, como ali ficassem muitos dias, Festo contou ao rei os negócios de Paulo, dizendo: Um certo homem foi deixado por Félix aqui preso,
Tinham, porém, contra ele algumas questões acerca da sua superstição, e de um tal Jesus, morto, que Paulo afirmava viver.
E, apelando Paulo para que fosse reservado ao conhecimento de Augusto, mandei que o guardassem até que o envie a César.
E, no dia seguinte, vindo Agripa e Berenice, com muito aparato, entraram no auditório com os tribunos e homens principais da cidade, sendo trazido Paulo por mandado de Festo.
Depois Agripa disse a Paulo: E permitido que te defendas. Então Paulo, estendendo a mão em sua defesa, respondeu:
E, dizendo ele isto em sua defesa, disse Festo em alta voz: Estás louco, Paulo
E disse Agripa a Paulo: Por pouco me queres persuadir a que me faça cristão!
E disse Paulo: Prouvera a Deus que, ou por pouco ou por muito, não somente tu, mas também todos quantos hoje me estão ouvindo, se tornassem tais qual eu sou, exceto estas cadeias.
E, como se determinou que havíamos de navegar para a Itália, entregaram Paulo, e alguns outros presos, a um centurião por nome Júlio, da coorte augusta.
E chegamos no dia seguinte a Sidom, e Júlio, tratando Paulo humanamente, lhe permitiu ir ver os amigos, para que cuidassem dele.
E, passado muito tempo, e sendo já perigosa a navegação, pois, também o jejum já tinha passado, Paulo os admoestava,
Mas o centurião cria mais no piloto e no mestre, do que no que dizia Paulo.
E, havendo já muito que não se comia, então Paulo, pondo-se em pé no meio deles, disse: Fora, na verdade, razoável, ó senhores, ter-me ouvido a mim e não partir de Creta, e assim evitariam este incômodo e esta perda.
Dizendo: Paulo, não temas
Disse Paulo ao centurião e aos soldados: Se estes não ficarem no navio, não podereis salvar-vos.
E, entretanto que o dia vinha, Paulo exortava a todos a que comessem alguma coisa, dizendo: É já hoje o décimo quarto dia que esperais, e permaneceis sem comer, não havendo provado nada.
Mas o centurião, querendo salvar a Paulo, lhes estorvou este intento
E, havendo Paulo ajuntado uma quantidade de vides, e pondo-as no fogo, uma víbora, fugindo do calor, lhe acometeu a mão.
E aconteceu estar de cama enfermo de febre e disenteria o pai de Públio, que Paulo foi ver, e, havendo orado, pôs as mãos sobre ele, e o curou.
E de lá, ouvindo os irmãos novas de nós, nos saíram ao encontro à Praça de Ápio e às Três Vendas, e Paulo, vendo-os, deu graças a Deus e tomou ânimo.
E aconteceu que, três dias depois, Paulo convocou os principais dos judeus e, juntos eles, lhes disse: Homens irmãos, não havendo eu feito nada contra o povo, ou contra os ritos paternos, vim contudo preso desde Jerusalém, entregue nas mãos dos romanos
E, como ficaram entre si discordes, despediram-se, dizendo Paulo esta palavra: Bem falou o Espírito Santo a nossos pais pelo profeta Isaías,
E Paulo ficou dois anos inteiros na sua própria habitação que alugara, e recebia todos quantos vinham vê-lo