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et dirent : "Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel."
afin qu’il ait part à ce ministère et à cet apostolat, que Judas a abandonné pour aller en son lieu.
Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés
Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.
Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple.
Ils reconnaissaient que c’était celui qui était assis à la Belle porte du temple pour demander l’aumône, et ils furent remplis d’étonnement et de surprise au sujet de ce qui lui était arrivé.
Pierre, voyant cela, dit au peuple : Hommes Israélites, pourquoi vous étonnez-vous de cela ? Pourquoi avez-vous les regards fixés sur nous, comme si c’était par notre propre puissance ou par notre piété que nous eussions fait marcher cet homme ?
Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés,
C’est à vous premièrement que Dieu, ayant suscité son serviteur, l’a envoyé pour vous bénir, en détournant chacun de vous de ses iniquités.
Car il est manifeste pour tous les habitants de Jérusalem qu’un miracle signalé a été accompli par eux, et nous ne pouvons pas le nier.
c’est toi qui as dit par le Saint-Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David : Pourquoi ce tumulte parmi les nations, et ces vaines pensées parmi les peuples ?
pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d’avance.
en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus.
Pierre lui dit : Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu mentes au Saint-Esprit, et que tu aies retenu une partie du prix du champ ?
Alors Pierre lui dit : Comment vous êtes-vous accordés pour tenter l’Esprit du Seigneur ? Voici, ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t’emporteront.
Dieu l’a élevé par sa droite comme Prince et Sauveur, pour donner à Israël la repentance et le pardon des péchés.
Car, il n’y a pas longtemps que parut Theudas, qui se donnait pour quelque chose, et auquel se rallièrent environ quatre cents hommes : il fut tué, et tous ceux qui l’avaient suivi furent mis en déroute et réduits à rien.
mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez la détruire. Ne courez pas le risque d’avoir combattu contre Dieu.
Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d’avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus.
Les douze convoquèrent la multitude des disciples, et dirent : Il n’est pas convenable que nous laissions la parole de Dieu pour servir aux tables.
C’est pourquoi, frères, choisissez parmi vous sept hommes, de qui l’on rende un bon témoignage, qui soient pleins d’Esprit-Saint et de sagesse, et que nous chargerons de cet emploi.
Les patriarches, jaloux de Joseph, le vendirent pour être emmené en Égypte.
Ce roi, usant d’artifice contre notre race, maltraita nos pères, au point de leur faire exposer leurs enfants, pour qu’ils ne vécussent pas.
J’ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte, j’ai entendu ses gémissements, et je suis descendu pour le délivrer. Maintenant, va, je t’enverrai en Égypte.
C’est lui qui, lors de l’assemblée au désert, étant avec l’ange qui lui parlait sur la montagne de Sinaï et avec nos pères, reçut des oracles vivants, pour nous les donner.
Vous avez porté la tente de Moloch et l’étoile du dieu Remphan, ces images que vous avez faites pour les adorer! Aussi vous transporterai-je au delà de Babylone.
David trouva grâce devant Dieu, et demanda d’élever une demeure pour le Dieu de Jacob
Il y avait auparavant dans la ville un homme nommé Simon, qui, se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l’étonnement du peuple de la Samarie.
Ceux-ci, arrivés chez les Samaritains, prièrent pour eux, afin qu’ils reçussent le Saint-Esprit.
Il n’y a pour toi ni part ni lot dans cette affaire, car ton cœur n’est pas droit devant Dieu.
Repens-toi donc de ta méchanceté, et prie le Seigneur pour que la pensée de ton cœur te soit pardonnée, s’il est possible
Simon répondit : Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, afin qu’il ne m’arrive rien de ce que vous avez dit.
Il se leva, et partit. Et voici, un Éthiopien, un eunuque, ministre de Candace, reine d’Éthiopie, et surintendant de tous ses trésors, venu à Jérusalem pour adorer,
Il répondit : Comment le pourrais-je, si quelqu’un ne me guide ? Et il invita Philippe à monter et à s’asseoir avec lui.
Quand ils furent sortis de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route,
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amenât liés à Jérusalem.
Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ?
et il a ici des pouvoirs, de la part des principaux sacrificateurs, pour lier tous ceux qui invoquent ton nom.
Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël
et je lui montrerai tout ce qu’il doit souffrir pour mon nom.
Tous ceux qui l’entendaient étaient dans l’étonnement, et disaient : N’est-ce pas celui qui persécutait à Jérusalem ceux qui invoquent ce nom, et n’est-il pas venu ici pour les emmener liés devant les principaux sacrificateurs ?
Au bout d’un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le tuer,
Les frères, l’ayant su, l’emmenèrent à Césarée, et le firent partir pour Tarse.
Comme Lydde est près de Joppé, les disciples, ayant appris que Pierre s’y trouvait, envoyèrent deux hommes vers lui, pour le prier de venir chez eux sans tarder.
Le lendemain, comme ils étaient en route, et qu’ils approchaient de la ville, Pierre monta sur le toit, vers la sixième heure, pour prier.
Et pour la seconde fois la voix se fit encore entendre à lui : Ce que Dieu a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé.
C’est pourquoi je n’ai pas eu d’objection à venir, puisque vous m’avez appelé
Aussitôt j’ai envoyé vers toi, et tu as bien fait de venir. Maintenant donc nous sommes tous devant Dieu, pour entendre tout ce que le Seigneur t’a ordonné de nous dire.
Et pour la seconde fois la voix se fit entendre du ciel : Ce que Dieu a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé.
Barnabas se rendit ensuite à Tarse, pour chercher Saul
et, l’ayant trouvé, il l’amena à Antioche. Pendant toute une année, ils se réunirent aux assemblées de l’Église, et ils enseignèrent beaucoup de personnes. Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens.
Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour écouter.
Quand il fit jour, les soldats furent dans une grande agitation, pour savoir ce que Pierre était devenu.
Hérode, s’étant mis à sa recherche et ne l’ayant pas trouvé, interrogea les gardes, et donna l’ordre de les mener au supplice. Ensuite il descendit de la Judée à Césarée, pour y séjourner.
Pendant qu’ils servaient le Seigneur dans leur ministère et qu’ils jeûnaient, le Saint-Esprit dit : Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés.
Barnabas et Saul, envoyés par le Saint-Esprit, descendirent à Séleucie, et de là ils s’embarquèrent pour l’île de Chypre.
Arrivés à Salamine, ils annoncèrent la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs. Ils avaient Jean pour aide.
Maintenant voici, la main du Seigneur est sur toi, tu seras aveugle, et pour un temps tu ne verras pas le soleil. Aussitôt l’obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui, et il cherchait, en tâtonnant, des personnes pour le guider.
De Perge ils poursuivirent leur route, et arrivèrent à Antioche de Pisidie. Étant entrés dans la synagogue le jour du sabbat, ils s’assirent.
puis, l’ayant rejeté, il leur suscita pour roi David, auquel il a rendu ce témoignage : J’ai trouvé David, fils d’Isaï, homme selon mon cœur, qui accomplira toutes mes volontés.
Dieu l’a accomplie pour nous leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon ce qui est écrit dans le Psaume deuxième : Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui.
C’est pourquoi il dit encore ailleurs : Tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption.
Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la parole de Dieu.
Car ainsi nous l’a ordonné le Seigneur : Je t’ai établi pour être la lumière des nations, pour porter le salut jusqu’aux extrémités de la terre.
La population de la ville se divisa : les uns étaient pour les Juifs, les autres pour les apôtres.
Et comme les païens et les Juifs, de concert avec leurs chefs, se mettaient en mouvement pour les outrager et les lapider,
Il écoutait parler Paul. Et Paul, fixant les regards sur lui et voyant qu’il avait la foi pour être guéri,
en s’écriant : Ô hommes, pourquoi agissez-vous de la sorte ? Nous aussi, nous sommes des hommes de la même nature que vous
Mais, les disciples l’ayant entouré, il se leva, et entra dans la ville. Le lendemain, il partit pour Derbe avec Barnabas.
De là ils s’embarquèrent pour Antioche, d’où ils avaient été recommandés à la grâce de Dieu pour l’œuvre qu’ils venaient d’accomplir.
Après avoir été accompagnés par l’Église, ils poursuivirent leur route à travers la Phénicie et la Samarie, racontant la conversion des païens, et ils causèrent une grande joie à tous les frères.
Les apôtres et les anciens se réunirent pour examiner cette affaire.
Maintenant donc, pourquoi tentez-vous Dieu, en mettant sur le cou des disciples un joug que ni nos pères ni nous n’avons pu porter ?
Simon a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d’elles un peuple qui portât son nom.
C’est pourquoi je suis d’avis qu’on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu,
ces hommes qui ont exposé leur vie pour le nom de notre Seigneur Jésus-Christ.
Quelques jours s’écoulèrent, après lesquels Paul dit à Barnabas : Retournons visiter les frères dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur, pour voir en quel état ils sont.
Ce dissentiment fut assez vif pour être cause qu’ils se séparèrent l’un de l’autre. Et Barnabas, prenant Marc avec lui, s’embarqua pour l’île de Chypre.
L’une d’elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le cœur, pour qu’elle fût attentive à ce que disait Paul.
il les fit sortir, et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ?
Quand il fit jour, les préteurs envoyèrent les licteurs pour dire au geôlier : Relâche ces hommes.
Mais les Juifs, jaloux prirent avec eux quelques méchants hommes de la populace, provoquèrent des attroupements, et répandirent l’agitation dans la ville. Ils se portèrent à la maison de Jason, et ils cherchèrent Paul et Silas, pour les amener vers le peuple.
Aussitôt les frères firent partir de nuit Paul et Silas pour Bérée. Lorsqu’ils furent arrivés, ils entrèrent dans la synagogue des Juifs.
Alors ils le prirent, et le menèrent à l’Aréopage, en disant : Pourrions-nous savoir quelle est cette nouvelle doctrine que tu enseignes ?
Car je suis avec toi, et personne ne mettra la main sur toi pour te faire du mal : parle, car j’ai un peuple nombreux dans cette ville.
Paul resta encore assez longtemps à Corinthe. Ensuite il prit congé des frères, et s’embarqua pour la Syrie, avec Priscille et Aquilas, après s’être fait raser la tête à Cenchrées, car il avait fait un vœu.
quelques-uns même des Asiarques, qui étaient ses amis, envoyèrent vers lui, pour l’engager à ne pas se rendre au théâtre.
Les uns criaient d’une manière, les autres d’une autre, car le désordre régnait dans l’assemblée, et la plupart ne savaient pas pourquoi ils s’étaient réunis.
Nous risquons, en effet, d’être accusés de sédition pour ce qui s’est passé aujourd’hui, puisqu’il n’existe aucun motif qui nous permette de justifier cet attroupement. Après ces paroles, il congédia l’assemblée.
Lorsque le tumulte eut cessé, Paul réunit les disciples, et, après les avoir exhortés, prit congé d’eux, et partit pour aller en Macédoine.
Puis il se rendit en Grèce, où il séjourna trois mois. Il était sur le point de s’embarquer pour la Syrie, quand les Juifs lui dressèrent des embûches. Alors il se décida à reprendre la route de la Macédoine.
Il avait pour l’accompagner jusqu’en Asie : Sopater de Bérée, fils de Pyrrhus, Aristarque et Second de Thessalonique, Gaïus de Derbe, Timothée, ainsi que Tychique et Trophime, originaires d’Asie.
Pour nous, après les jours des pains sans levain, nous nous embarquâmes à Philippes, et, au bout de cinq jours, nous les rejoignîmes à Troas, où nous passâmes sept jours.
Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s’entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu’à minuit.
Pour nous, nous précédâmes Paul sur le navire, et nous fîmes voile pour Assos, où nous étions convenus de le reprendre, parce qu’il devait faire la route à pied.
Mais je ne fais pour moi-même aucun cas de ma vie, comme si elle m’était précieuse, pourvu que j’accomplisse ma course avec joie, et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus, d’annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
C’est pourquoi je vous déclare aujourd’hui que je suis pur du sang de vous tous,
Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour paître l’Église du Seigneur, qu’il s’est acquise par son propre sang.
et qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux.
Vous savez vous-mêmes que ces mains ont pourvu à mes besoins et à ceux des personnes qui étaient avec moi.
Quand nous fûmes en vue de l’île de Chypre, nous la laissâmes à gauche, poursuivant notre route du côté de la Syrie, et nous abordâmes à Tyr, où le bâtiment devait décharger sa cargaison.
Mais, lorsque nous fûmes au terme des sept jours, nous nous acheminâmes pour partir, et tous nous accompagnèrent avec leurs femmes et leurs enfants jusque hors de la ville. Nous nous mîmes à genoux sur le rivage, et nous priâmes.
Alors il répondit : Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur ? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus.
Quand ils l’eurent entendu, ils glorifièrent Dieu. Puis ils lui dirent : Tu vois, frère, combien de milliers de Juifs ont cru, et tous sont zélés pour la loi.
C’est pourquoi fais ce que nous allons te dire. Il y a parmi nous quatre hommes qui ont fait un vœu
prends-les avec toi, purifie-toi avec eux, et pourvois à leur dépense, afin qu’ils se rasent la tête. Et ainsi tous sauront que ce qu’ils ont entendu dire sur ton compte est faux, mais que toi aussi tu te conduis en observateur de la loi.
Alors Paul prit ces hommes, se purifia, et entra le lendemain dans le temple avec eux, pour annoncer à quel jour la purification serait accomplie et l’offrande présentée pour chacun d’eux.
Hommes frères et pères, écoutez ce que j’ai maintenant à vous dire pour ma défense !
Le souverain sacrificateur et tout le collège des anciens m’en sont témoins. J’ai même reçu d’eux des lettres pour les frères de Damas, où je me rendis afin d’amener liés à Jérusalem ceux qui se trouvaient là et de les faire punir.
Je tombai par terre, et j’entendis une voix qui me disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ?
Le tribun commanda de faire entrer Paul dans la forteresse, et de lui donner la question par le fouet, afin de savoir pour quel motif ils criaient ainsi contre lui.
À ces mots, le centenier alla vers le tribun pour l’avertir, disant : Que vas-tu faire ? Cet homme est Romain.
Alors Paul lui dit : Dieu te frappera, muraille blanchie ! Tu es assis pour me juger selon la loi, et tu violes la loi en ordonnant qu’on me frappe !
Comme la discorde allait croissant, le tribun craignant que Paul ne fût mis en pièces par ces gens, fit descendre les soldats pour l’enlever du milieu d’eux et le conduire à la forteresse.
Vous donc, maintenant, adressez-vous avec le sanhédrin au tribun, pour qu’il l’amène devant vous, comme si vous vouliez examiner sa cause plus exactement
Ensuite il appela deux des centeniers, et dit : Tenez prêts, dès la troisième heure de la nuit, deux cents soldats, soixante-dix cavaliers et deux cents archers, pour aller jusqu’à Césarée.
Qu’il y ait aussi des montures pour Paul, afin qu’on le mène sain et sauf au gouverneur Félix.
Voulant connaître le motif pour lequel ils l’accusaient, je l’amenai devant leur sanhédrin.
Le lendemain, laissant les cavaliers poursuivre la route avec lui, ils retournèrent à la forteresse.
Mais, pour ne pas te retenir davantage, je te prie d’écouter, dans ta bonté, ce que nous avons à dire en peu de mots.
en ordonnant à ses accusateurs de venir devant toi. Tu pourras toi-même, en l’interrogeant, apprendre de lui tout ce dont nous l’accusons.
Après que le gouverneur lui eut fait signe de parler, Paul répondit : Sachant que, depuis plusieurs années, tu es juge de cette nation, c’est avec confiance que je prends la parole pour défendre ma cause.
Il n’y a pas plus de douze jours, tu peux t’en assurer, que je suis monté à Jérusalem pour adorer.
C’est pourquoi je m’efforce d’avoir constamment une conscience sans reproche devant Dieu et devant les hommes.
Après une absence de plusieurs années, je suis venu pour faire des aumônes à ma nation, et pour présenter des offrandes.
Mais, comme Paul discourait sur la justice, sur la tempérance, et sur le jugement à venir, Félix, effrayé, dit : Pour le moment retire-toi
Deux ans s’écoulèrent ainsi, et Félix eut pour successeur Porcius Festus. Dans le désir de plaire aux Juifs, Félix laissa Paul en prison.
lui demandèrent comme une faveur qu’il le fît venir à Jérusalem. Ils préparaient un guet-apens, pour le tuer en chemin.
Quelques jours après, le roi Agrippa et Bérénice arrivèrent à Césarée, pour saluer Festus.
Mais Paul en ayant appelé, pour que sa cause fût réservée à la connaissance de l’empereur, j’ai ordonné qu’on le gardât jusqu’à ce que je l’envoyasse à César.
Pour moi, ayant reconnu qu’il n’a rien fait qui mérite la mort, et lui-même en ayant appelé à l’empereur, j’ai résolu de le faire partir.
Agrippa dit à Paul : Il t’est permis de parler pour ta défense. Et Paul, ayant étendu la main, se justifia en ces termes :
et à laquelle aspirent nos douze tribus, qui servent Dieu continuellement nuit et jour. C’est pour cette espérance, ô roi, que je suis accusé par des Juifs !
Pour moi, j’avais cru devoir agir vigoureusement contre le nom de Jésus de Nazareth.
Nous tombâmes tous par terre, et j’entendis une voix qui me disait en langue hébraïque : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Il te serait dur de regimber contre les aiguillons.
afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés.
Voilà pourquoi les Juifs se sont saisis de moi dans le temple, et ont tâché de me faire périr.
Comme il parlait ainsi pour sa justification, Festus dit à haute voix : Tu es fou, Paul ! Ton grand savoir te fait déraisonner.
Lorsqu’il fut décidé que nous nous embarquerions pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centenier de la cohorte Auguste, nommé Julius.
C’est pourquoi Paul avertit les autres, en disant : Ô hommes, je vois que la navigation ne se fera pas sans péril et sans beaucoup de dommage, non seulement pour la cargaison et pour le navire, mais encore pour nos personnes.
Et comme le port n’était pas bon pour hiverner, la plupart furent d’avis de le quitter pour tâcher d’atteindre Phénix, port de Crète qui regarde le sud-ouest et le nord-ouest, afin d’y passer l’hiver.
après l’avoir hissée, on se servit des moyens de secours pour ceindre le navire, et, dans la crainte de tomber sur la Syrte, on abaissa les voiles. C’est ainsi qu’on se laissa emporter par le vent.
C’est pourquoi, ô hommes, rassurez-vous, car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.
Je vous invite donc à prendre de la nourriture, car cela est nécessaire pour votre salut, et il ne se perdra pas un cheveu de la tête d’aucun de vous.
Ils délièrent les ancres pour les laisser aller dans la mer, et ils relâchèrent en même temps les attaches des gouvernails
Mais le centenier, qui voulait sauver Paul, les empêcha d’exécuter ce dessein. Il ordonna à ceux qui savaient nager de se jeter les premiers dans l’eau pour gagner la terre,
Après un séjour de trois mois, nous nous embarquâmes sur un navire d’Alexandrie, qui avait passé l’hiver dans l’île, et qui portait pour enseigne les Dioscures.
Voilà pourquoi j’ai demandé à vous voir et à vous parler
‘It will be in the last days, says God, that I will pour out my Spirit on all flesh. Your sons and your daughters will prophesy. Your young men will see visions. Your old men will dream dreams.
Yes, and on my servants and on my handmaidens in those days, I will pour out my Spirit, and they will prophesy.
Being therefore exalted by the right hand of God, and having received from the Father the promise of the Holy Spirit, he has poured out this, which you now see and hear.
They of the circumcision who believed were amazed, as many as came with Peter, because the gift of the Holy Spirit was also poured out on the Gentiles.