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Unas tres horas más tarde entró su mujer que ignoraba lo que había pasado.
En esta coyuntura nació Moisés, que era hermoso a los ojos de Dios. Durante tres meses fue criado en la casa de su padre
Pasó tres días sin ver, sin comer y sin beber.
Esto se repitió tres veces, e inmediatamente la cosa aquella fue elevada hacia el cielo.
Esto se repitió hasta tres veces
«En aquel momento se presentaron tres hombres en la casa donde nosotros estábamos, enviados a mí desde Cesarea.
Pablo, según su costumbre, se dirigió a ellos y durante tres sábados discutió con ellos basándose en las Escrituras,
Entró en la sinagoga y durante tres meses hablaba con valentía, discutiendo acerca del Reino de Dios e intentando convencerles.
Pasó allí tres meses. Los judíos tramaron una conjuración contra él cuando estaba a punto de embarcarse para Siria
Por tanto, vigilad y acordaos que durante tres años no he cesado de amonestaros día y noche con lágrimas a cada uno de vosotros.
Tres días después de haber llegado a la provincia, subió Festo de Cesarea a Jerusalén.
En las cercanías de aquel lugar tenía unas propiedades el principal de la isla llamado Publio, quien nos recibió y nos dio amablemente hospedaje durante tres días.
Transcurridos tres meses nos hicimos a la mar en una nave alejandrina que había invernado en la isla y llevaba por enseña los Dióscuros.
Arribamos a Siracusa y permanecimos allí tres días.
Los hermanos, informados de nuestra llegada, salieron a nuestro encuentro hasta el Foro Apio y Tres Tabernas. Pablo, al verlos, dio gracias a Dios y cobró ánimos.
Tres días después convocó a los principales judíos. Una vez reunidos, les dijo: «Hermanos, yo, sin haber hecho nada contra el pueblo ni contra las costumbres de los padres, fui apresado en Jerusalén y entregado en manos de los romanos,
jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres, par le Saint-Esprit, aux apôtres qu’il avait choisis.
Alors les apôtres réunis lui demandèrent : "Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël ?"
Ils tirèrent au sort, et le sort tomba sur Matthias, qui fut associé aux onze apôtres.
Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux.
Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Ils étaient tous dans l’étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres : Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens ?
Ils étaient tous dans l’étonnement, et, ne sachant que penser, ils se disaient les uns aux autres : Que veut dire ceci ?
Mais d’autres se moquaient, et disaient : Ils sont pleins de vin doux.
Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?
Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse.
Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières.
La crainte s’emparait de chacun, et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres.
Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. Et une grande grâce reposait sur eux tous.
et le déposaient aux pieds des apôtres
Joseph, surnommé par les apôtres Barnabas, ce qui signifie fils d’exhortation, Lévite, originaire de Chypre,
vendit un champ qu’il possédait, apporta l’argent, et le déposa aux pieds des apôtres.
Au même instant, elle tomba aux pieds de l’apôtre, et expira. Les jeunes gens, étant entrés, la trouvèrent morte
Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres. Ils se tenaient tous ensemble au portique de Salomon,
et aucun des autres n’osait se joindre à eux
mirent les mains sur les apôtres, et les jetèrent dans la prison publique.
Ayant entendu cela, ils entrèrent dès le matin dans le temple, et se mirent à enseigner. Le souverain sacrificateur et ceux qui étaient avec lui étant survenus, ils convoquèrent le sanhédrin et tous les anciens des fils d’Israël, et ils envoyèrent chercher les apôtres à la prison.
Lorsqu’ils eurent entendu ces paroles, le commandant du temple et les principaux sacrificateurs ne savaient que penser des apôtres et des suites de cette affaire.
Pierre et les apôtres répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.
Mais un pharisien, nommé Gamaliel, docteur de la loi, estimé de tout le peuple, se leva dans le sanhédrin, et ordonna de faire sortir un instant les apôtres.
Ils se rangèrent à son avis. Et ayant appelé les apôtres, ils les firent battre de verges, ils leur défendirent de parler au nom de Jésus, et ils les relâchèrent.
Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d’avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus.
Ils les présentèrent aux apôtres, qui, après avoir prié, leur imposèrent les mains.
Il survint une famine dans tout le pays d’Égypte, et dans celui de Canaan. La détresse était grande, et nos pères ne trouvaient pas de quoi se nourrir.
Mais le Très-Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme, comme dit le prophète :
Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean.
Lorsque Simon vit que le Saint-Esprit était donné par l’imposition des mains des apôtres, il leur offrit de l’argent,
Il se leva, et partit. Et voici, un Éthiopien, un eunuque, ministre de Candace, reine d’Éthiopie, et surintendant de tous ses trésors, venu à Jérusalem pour adorer,
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amenât liés à Jérusalem.
Alors Barnabas, l’ayant pris avec lui, le conduisit vers les apôtres, et leur raconta comment sur le chemin Saul avait vu le Seigneur, qui lui avait parlé, et comment à Damas il avait prêché franchement au nom de Jésus.
Les apôtres et les frères qui étaient dans la Judée apprirent que les païens avaient aussi reçu la parole de Dieu.
De Perge ils poursuivirent leur route, et arrivèrent à Antioche de Pisidie. Étant entrés dans la synagogue le jour du sabbat, ils s’assirent.
La population de la ville se divisa : les uns étaient pour les Juifs, les autres pour les apôtres.
Les apôtres Barnabas et Paul, ayant appris cela, déchirèrent leurs vêtements, et se précipitèrent au milieu de la foule,
Arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l’Église, les apôtres et les anciens, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux.
Les apôtres et les anciens se réunirent pour examiner cette affaire.
Alors il parut bon aux apôtres et aux anciens, et à toute l’Église, de choisir parmi eux et d’envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabas, Jude appelé Barsabas et Silas, hommes considérés entre les frères.
Ils les chargèrent d’une lettre ainsi conçue : Les apôtres, les anciens, et les frères, aux frères d’entre les païens, qui sont à Antioche, en Syrie, et en Cilicie, salut !
Paul et Barnabas demeurèrent à Antioche, enseignant et annonçant, avec plusieurs autres, la bonne nouvelle de la parole du Seigneur.
En passant par les villes, ils recommandaient aux frères d’observer les décisions des apôtres et des anciens de Jérusalem.
Comme nous allions au lieu de prière, une servante qui avait un esprit de Python, et qui, en devinant, procurait un grand profit à ses maîtres, vint au-devant de nous,
et se mit à nous suivre, Paul et nous. Elle criait : Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut, et ils vous annoncent la voie du salut.
Les maîtres de la servante, voyant disparaître l’espoir de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique devant les magistrats.
qui ne laissèrent aller Jason et les autres qu’après avoir obtenu d’eux une caution.
Quelques philosophes épicuriens et stoïciens se mirent à parler avec lui. Et les uns disaient : Que veut dire ce discoureur ? D’autres, l’entendant annoncer Jésus et la résurrection, disaient : Il semble qu’il annonce des divinités étrangères.
Lorsqu’ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquèrent, et les autres dirent : Nous t’entendrons là-dessus une autre fois.
Quelques-uns néanmoins s’attachèrent à lui et crurent, Denys l’aréopagite, une femme nommée Damaris, et d’autres avec eux.
Comme il voulait passer en Achaïe, les frères l’y encouragèrent, et écrivirent aux disciples de le bien recevoir. Quand il fut arrivé, il se rendit, par la grâce de Dieu, très utile à ceux qui avaient cru
Les uns criaient d’une manière, les autres d’une autre, car le désordre régnait dans l’assemblée, et la plupart ne savaient pas pourquoi ils s’étaient réunis.
Et si vous avez en vue d’autres objets, ils se régleront dans une assemblée légale.
Puis, ayant pris congé les uns des autres, nous montâmes sur le navire, et ils retournèrent chez eux.
Nous partîmes le lendemain, et nous arrivâmes à Césarée. Étant entrés dans la maison de Philippe l’évangéliste, qui était l’un des sept, nous logeâmes chez lui.
Mais dans la foule les uns criaient d’une manière, les autres d’une autre
Le souverain sacrificateur et tout le collège des anciens m’en sont témoins. J’ai même reçu d’eux des lettres pour les frères de Damas, où je me rendis afin d’amener liés à Jérusalem ceux qui se trouvaient là et de les faire punir.
lorsqu’on répandit le sang d’Étienne, ton témoin, j’étais moi-même présent, joignant mon approbation à celle des autres, et gardant les vêtements de ceux qui le faisaient mourir.
Claude Lysias au très excellent gouverneur Félix, salut !
Très excellent Félix, tu nous fais jouir d’une paix profonde, et cette nation a obtenu de salutaires réformes par tes soins prévoyants
C’est ce que j’ai fait à Jérusalem. J’ai jeté en prison plusieurs des saints, ayant reçu ce pouvoir des principaux sacrificateurs, et, quand on les mettait à mort, je joignais mon suffrage à celui des autres.
Je ne suis point fou, très excellent Festus, répliqua Paul
et, en se retirant, ils se disaient les uns aux autres : Cet homme n’a rien fait qui mérite la mort ou la prison.
Lorsqu’il fut décidé que nous nous embarquerions pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centenier de la cohorte Auguste, nommé Julius.
C’est pourquoi Paul avertit les autres, en disant : Ô hommes, je vois que la navigation ne se fera pas sans péril et sans beaucoup de dommage, non seulement pour la cargaison et pour le navire, mais encore pour nos personnes.
Un léger vent du sud vint à souffler, et, se croyant maîtres de leur dessein, ils levèrent l’ancre et côtoyèrent de près l’île de Crète.
Nous passâmes au-dessous d’une petite île nommée Clauda, et nous eûmes de la peine à nous rendre maîtres de la chaloupe
et aux autres de se mettre sur des planches ou sur des débris du navire. Et ainsi tous parvinrent à terre sains et saufs.
Quand les barbares virent l’animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres : Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n’a pas voulu le laisser vivre, après qu’il a été sauvé de la mer.
Là-dessus, vinrent les autres malades de l’île, et ils furent guéris.
Les uns furent persuadés par ce qu’il disait, et les autres ne crurent point.
They even carried out the sick into the streets, and laid them on cots and mattresses, so that as Peter came by, at the least his shadow might overshadow some of them.
E, passando um espaço quase de três horas, entrou também sua mulher, não sabendo o que havia acontecido.
Nesse tempo nasceu Moisés, e era mui formoso, e foi criado três meses em casa de seu pai.
E esteve três dias sem ver, e não comeu nem bebeu.
E aconteceu isto por três vezes
E, pensando Pedro naquela visão, disse-lhe o Espírito: Eis que três homens te buscam.
E sucedeu isto por três vezes
E eis que, na mesma hora, pararam, junto da casa em que eu estava, três homens que me foram enviados de Cesaréia.
E, entrando na sinagoga, falou ousadamente por espaço de três meses, disputando e persuadindo-os acerca do reino de Deus.
E, passando ali três meses, e sendo-lhe pelos judeus postas ciladas, como tivesse de navegar para a Síria, determinou voltar pela macedônia.
Portanto, vigiai, lembrando-vos de que durante três anos, não cessei, noite e dia, de admoestar com lágrimas a cada um de vós.
E, chamando dois centuriões, lhes disse: Aprontai para as três horas da noite duzentos soldados, e setenta de cavalaria, e duzentos arqueiros para irem até Cesaréia
Entrando, pois, Festo na província, subiu dali a três dias de Cesaréia a Jerusalém.
E ali, próximo daquele lugar, havia umas herdades que pertenciam ao principal da ilha, por nome Públio, o qual nos recebeu e hospedou benignamente por três dias.
E três meses depois partimos num navio de Alexandria que invernara na ilha, o qual tinha por insígnia Castor e Pólux.
E, chegando a Siracusa, ficamos ali três dias.
E de lá, ouvindo os irmãos novas de nós, nos saíram ao encontro à Praça de Ápio e às Três Vendas, e Paulo, vendo-os, deu graças a Deus e tomou ânimo.
E aconteceu que, três dias depois, Paulo convocou os principais dos judeus e, juntos eles, lhes disse: Homens irmãos, não havendo eu feito nada contra o povo, ou contra os ritos paternos, vim contudo preso desde Jerusalém, entregue nas mãos dos romanos